Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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Fabrice Luchini: «On pourrait presque penser à un signe».
RépondreSupprimer« Hier en rentrant sur scène, je me suis permis d’évoquer le drame de Notre Dame. Il était impossible de commencer un spectacle sans évoquer les flammes dans le cœur de Paris. Et le texte de Charles Péguy et sa passion chrétienne nous ont plongés dans une communion dont je ne mesurais pas la puissance. Notre Dame de Paris, c’est un symbole d’Occident. Même si on n’est pas chrétien, même si nous ne sommes plus chrétiens : la France est chrétienne. C’est un fait. Moi-même je suis frappé en plein cœur. Hébété. »
Difficile de ne pas voir la dimension symbolique...
Ce qui est incroyable, c’est que les officiels aient d’emblée affirmé que l’incendie était d’origine accidentelle, sans autres précisions à l’appui ! La vérité, c’est qu’à ce stade, rien ne pouvait être affirmé, ni exclu ! Cette précipitation à écarter toute autre éventualité est suspecte (ce qui ne signifie pas qu’on nous ment au cas particulier, mais ce qui diminue encore la fiabilité de la parole officielle).
RépondreSupprimerCe qui interpelle, c'est l'extraordinaire rapidité de l'extension du feu.?
Pour être raisonnable - et prudent, essayons une synthèse sur les origines et responsabilités de l’incendie de Notre-Dame : peut-être un attentat accidentel perpétré involontairement par un déséquilibré, et aggravé par une absence coupable de surveillance adéquate de la part des services de l’archevêché ? Ainsi tout reste ouvert. C’est bon comme ça ? Non ? Pourquoi, M.le Procureur ?
RépondreSupprimerP….. ! c’est pas compliqué : c’est la faute d’un de ces fumeurs de clopes qui a jeté avec insouciance un mégot mal éteint par terre, sur une berge de Seine. Le léger vent du soir a emporté quelques étincelles vers le toit de Notre-Dame, et mis le feu aux poutres, vieilles de plusieurs siècles donc très sèches -quasiment du bois mort - et puis voilà ! Cherchez pas midi à quatorze heures.
RépondreSupprimerLes misérables ont-ils mis le feu à la forêt ?
RépondreSupprimerFocu a a ceppa! Encore ces foutus bergers!
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