mardi 16 octobre 2012

AH, CES POËTES...!

Serge Venturini, pour faire plaisir à son ami, le romancier arménien David Mouradian est allé avec lui, dire le fameux poëme d'Appollinaire: "Le pont Mirabeau" ... sur le pont Mirabeau.

3 commentaires:

  1. Ah , ces indispensables poêtes !!

    RépondreSupprimer
  2. Seule la peine due à l’amour perdu ( il s’agit de Marie Laurencin pour l’auteur de ce magnifique poème) demeure face à l’indifférence du temps qui passe. Seul le poète dans sa résistance inébranlable demeure face aux dérives du temps qui passe. Les paroles de Serge, dites sur le pont Mirabeau, semblent s’envoler, emportées par la fluidité des éléments ( la Seine qui coule, le vent qui agite ses cheveux, ou peut-être encore par la fumée de son cigare ou la circulation automobile qu’on entend). Mais lui il est là, figé et résolu à se battre contre le renoncement. Faut-il rappeler qu’Apollinaire, poète français connu et reconnu, était d’origine polonaise et qu’il fait partie des victimes de la guerre de 14-18. Ah ! ces étrangers !jb

    RépondreSupprimer
  3. "figé": pardon Serge, je voulais dire stoique.jb

    RépondreSupprimer