dimanche 20 janvier 2013

Sans oublier l'esquimau de l'entre-acte :-)))


6 commentaires:


  1. Ça c'est madeleine...l'entracte et le bonbon, caramel, esquimaux, chocolat criés avec le panier en osier par l'ouvreuse...ensuite le Balzac 001 de l'incontournable Jean Mineur et ses réclames....maintenant ma petite fille c'est le paquet de pop corn plus grand qu'elle...O tempora o mores...bc

    RépondreSupprimer
  2. Vous connaissez bien sur l'histoire de Balzac 0001 :lorsque j'étais plus jeune,à Ajaccio,après l'annonce,on entendait souvent un cri dans la salle :"ancu
    un'pocu e u'n avvia mica u telefonu !!!"

    RépondreSupprimer
  3. Ce devait être "PetruPà".
    Un fou de cinema et surtout de westerns. Il intervenait souvent durant la projection pour prévenir le heros d'un guet-apens par exemple... Tres impressionné par le film "La flèche brisée" il avait baptisé son fils "Cochise" et pendant un temps ne parlait plus qu'"indien". Un jour quittant le comptoir apres quelques pastis, que les clients lui payaient volontiers, il eut cette sortie, restée célèbre: "Maintenant, moi rentrer tepee, si squaw pas fait biberon Cochise, moi lancer squaw par la fenêtre " et c'est qu'il l'aurait fait le bougre...

    RépondreSupprimer
  4. par la fenetre du tepee?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Son "tepee" se situait au 6iè étage sous les combles, à l'entrée de la Rue Fesch, à hauteur d'A Piazzeta. Ca aurait pu faire mal à la squaw..!

      Supprimer
  5. Je crois qu'Ajaccio est la seule ville du monde (?)ou on pouvait trouver un " crieur de journaux " qui soit...muet!

    RépondreSupprimer