jeudi 28 mars 2013

De notre fabuliste anonyme:


24 commentaires:

  1. Excellent et bien adapté aux quelques échanges tenus sur ce blog concernant le malheureux bouleau !!*

    Une traduction en corse par notre imminent linguiste serait la bienvenue ,si évidemment la langue corse le permet!

    Ne pas confondre é et è bien qu'en corse les ponctuations et les accents peuvent toujours faciliter la terminaison des mots et parfois en modifier même leur sens ce qui souvent questionne et surprend .

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  2. Vous vouliez dire " éminent", mon révérend ?

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  3. Détrompez vous c'était bien imminent (et non pas éminent) car notre linguiste nous apporte le plus souvent des traductions immédiates il n'y avait donc pas lieu de corriger sa spontanéité faisant foi.

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  4. J'adore ces fables "rutalisées". Ce "fabuliste" anonyme a bien du talent.

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  5. De talent pas vraiment,
    Au mieux facilité,
    Soutenue il est vrai,
    Autant par le sujet,
    Qui s'y prête souvent,
    Que par ses commentaires,
    Sur un ton enlevé,
    Qui font que sur la terre,
    On a besoin de se retrouver....

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    1. Talent ou facilité
      Tout le monde n'en est point doté
      Quoi qu'il en soit
      Moi je reste coi

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  6. Et pourquoi la langue corse ne le permettrait elle pas ? Si personnellement je suis incapable de le traduire en vers,nul doute que Louis le pourrait,sans doute d'ailleurs avec une puissance poétique plus affirmée,et des rimes plus recherchées.

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  7. Je précise que l'auteur a très modestement envoyé sa production à titre de "commentaire". C'est moi qui ait voulu lui donner cette présentation, pour mettre son texte un peu plus en valeur que sa présentation originelle n'aurait permis.

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  8. Mais on attend Louis et on jugera sur texte.Encore faut il qu'il nous le propose et que le texte l'inspire .
    je pense que César pourrait aussi tout autant si atteler et peut être que nous aurions de bonnes surprises
    On pourrait aisément comparer les traductions corses et y attribuer des appréciations
    Tout ceci apporterait entre autre de grosses satisfactions et permettrait de distinguer les nuances de chacun des auteurs .

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  9. Et l'auteur apprécie
    Non pas tant les honneurs
    Mais surtout qui le lit

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  10. - Écoutez-ça , mes amis, : .../...aurais-je envie de vous dire

    car s'il est vrai que je vous lis avec plaisir,
    - vos vers me font sourire-

    j'ai le besoin aussi de les dire
    à haute voix..
    pour mieux goûter à l’inépuisable facétie de nos comportements

    ...peut-être le démarrage d'un fablier "rutalais"

    CU






    .

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    1. Qui est ce CU ? Un cucu un cuccu un vrai cu. un faux cu. un cu. de jatte

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  11. Et moi je le connais le Fabuliste..........

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  12. Oui mais le traducteur corse ............

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  13. "Moi je connais le fabuliste",certains disent,
    D'autres "à haute voix,il faut qu'on le lise",
    D'autres enfin,"il serait bon qu'on le traduise"
    Lui vous confie qu'il craint qu'il ne s'épuise
    A chercher encore des rimes en use...
    C'est pourquoi il change et braque
    Vous souhaitant de joyeuses Pâques

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  14. Moi je connais.. LA.. fabuliste

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  15. Voyant que nos linguistes non sont si imminents que l'on croit voici en attendant la poésie du bouleau.Chaque nuit, le bouleau

    Du fond de mon jardin
    Devient un long bateau
    Qui descend ou l'Escaut
    Ou la Meuse ou le Rhin.
    Il court à l'Océan
    Qu'il traverse en jouant
    Avec les albatros,
    Salue Valparaiso,
    Crie bonjour à Tokyo
    Et sourit à Formose.
    Puis, dans le matin rose
    Ayant longé le Pôle,
    Des rades et des môles,
    Lentement redevient
    Bouleau de mon jardin.

    Et maintenant je suis persuadé que celle ci non plus ne saura pas être dépeinte en langue corse.

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  16. Les défenseurs de la langue corse sont nombreux mais il y a surtout beaucoup trop de Beppe Grillo .
    Forza Italia

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  17. Enivrées
    elles s'envolent
    les feuilles empourprées
    Elles iront jusqu'au sol
    et au ras des chaussées
    côtoyer les rigoles
    où elles vont s'embarquer
    poussées par leur idole
    Eole aux frais baisers
    C'était beau
    et il pleure
    le jeune baliveau
    Il est nu à cette heure
    ne trouvant pas les mots
    pour cacher sa pudeur
    Il interroge l'écho
    de son for intérieur
    - Que suis-je devenu?
    Je ne me reconnais plus!
    - Tu es l'arbre et tu vis
    tes racines sont belles
    Sois toi-même et souris
    à la Saison nouvelle!
    Mais méfie-toi du printemps
    et de ses hirondelles
    qui font des parallèles
    « cù sigoni » d’antan
    Car vois-tu trop tu gènes
    planté comme un poteau
    dans le joli caniveau
    de gens de La Fontaine
    (jbg)

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  18. Que c'est beau, J B , c'est vrai qu'il manque ce jeune bouleau a chaque fois qu'on passait dans ce virage , un regard admiratif ,qu'il est beau ce bouleau et quand j'ai vu la sciure qu'elle déception
    LB

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  19. J'aime cette poésie mais je ne comprends pas "cu sigoni".

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    1. sigoni: pluriel de sigone qui désigne, en corse, la scie passe partout. "Cù sigoni"=avec des scies passe partout.

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  20. Sigoni, ne signifie pas : ces cons.

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