Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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Excellent et bien adapté aux quelques échanges tenus sur ce blog concernant le malheureux bouleau !!*
Une traduction en corse par notre imminent linguiste serait la bienvenue ,si évidemment la langue corse le permet!
Ne pas confondre é et è bien qu'en corse les ponctuations et les accents peuvent toujours faciliter la terminaison des mots et parfois en modifier même leur sens ce qui souvent questionne et surprend .
Détrompez vous c'était bien imminent (et non pas éminent) car notre linguiste nous apporte le plus souvent des traductions immédiates il n'y avait donc pas lieu de corriger sa spontanéité faisant foi.
De talent pas vraiment, Au mieux facilité, Soutenue il est vrai, Autant par le sujet, Qui s'y prête souvent, Que par ses commentaires, Sur un ton enlevé, Qui font que sur la terre, On a besoin de se retrouver....
Et pourquoi la langue corse ne le permettrait elle pas ? Si personnellement je suis incapable de le traduire en vers,nul doute que Louis le pourrait,sans doute d'ailleurs avec une puissance poétique plus affirmée,et des rimes plus recherchées.
Je précise que l'auteur a très modestement envoyé sa production à titre de "commentaire". C'est moi qui ait voulu lui donner cette présentation, pour mettre son texte un peu plus en valeur que sa présentation originelle n'aurait permis.
Mais on attend Louis et on jugera sur texte.Encore faut il qu'il nous le propose et que le texte l'inspire . je pense que César pourrait aussi tout autant si atteler et peut être que nous aurions de bonnes surprises On pourrait aisément comparer les traductions corses et y attribuer des appréciations Tout ceci apporterait entre autre de grosses satisfactions et permettrait de distinguer les nuances de chacun des auteurs .
"Moi je connais le fabuliste",certains disent, D'autres "à haute voix,il faut qu'on le lise", D'autres enfin,"il serait bon qu'on le traduise" Lui vous confie qu'il craint qu'il ne s'épuise A chercher encore des rimes en use... C'est pourquoi il change et braque Vous souhaitant de joyeuses Pâques
Voyant que nos linguistes non sont si imminents que l'on croit voici en attendant la poésie du bouleau.Chaque nuit, le bouleau
Du fond de mon jardin Devient un long bateau Qui descend ou l'Escaut Ou la Meuse ou le Rhin. Il court à l'Océan Qu'il traverse en jouant Avec les albatros, Salue Valparaiso, Crie bonjour à Tokyo Et sourit à Formose. Puis, dans le matin rose Ayant longé le Pôle, Des rades et des môles, Lentement redevient Bouleau de mon jardin.
Et maintenant je suis persuadé que celle ci non plus ne saura pas être dépeinte en langue corse.
Enivrées elles s'envolent les feuilles empourprées Elles iront jusqu'au sol et au ras des chaussées côtoyer les rigoles où elles vont s'embarquer poussées par leur idole Eole aux frais baisers C'était beau et il pleure le jeune baliveau Il est nu à cette heure ne trouvant pas les mots pour cacher sa pudeur Il interroge l'écho de son for intérieur - Que suis-je devenu? Je ne me reconnais plus! - Tu es l'arbre et tu vis tes racines sont belles Sois toi-même et souris à la Saison nouvelle! Mais méfie-toi du printemps et de ses hirondelles qui font des parallèles « cù sigoni » d’antan Car vois-tu trop tu gènes planté comme un poteau dans le joli caniveau de gens de La Fontaine (jbg)
Que c'est beau, J B , c'est vrai qu'il manque ce jeune bouleau a chaque fois qu'on passait dans ce virage , un regard admiratif ,qu'il est beau ce bouleau et quand j'ai vu la sciure qu'elle déception LB
Excellent et bien adapté aux quelques échanges tenus sur ce blog concernant le malheureux bouleau !!*
RépondreSupprimerUne traduction en corse par notre imminent linguiste serait la bienvenue ,si évidemment la langue corse le permet!
Ne pas confondre é et è bien qu'en corse les ponctuations et les accents peuvent toujours faciliter la terminaison des mots et parfois en modifier même leur sens ce qui souvent questionne et surprend .
Vous vouliez dire " éminent", mon révérend ?
RépondreSupprimerDétrompez vous c'était bien imminent (et non pas éminent) car notre linguiste nous apporte le plus souvent des traductions immédiates il n'y avait donc pas lieu de corriger sa spontanéité faisant foi.
RépondreSupprimerJ'adore ces fables "rutalisées". Ce "fabuliste" anonyme a bien du talent.
RépondreSupprimerDe talent pas vraiment,
RépondreSupprimerAu mieux facilité,
Soutenue il est vrai,
Autant par le sujet,
Qui s'y prête souvent,
Que par ses commentaires,
Sur un ton enlevé,
Qui font que sur la terre,
On a besoin de se retrouver....
Talent ou facilité
SupprimerTout le monde n'en est point doté
Quoi qu'il en soit
Moi je reste coi
Et pourquoi la langue corse ne le permettrait elle pas ? Si personnellement je suis incapable de le traduire en vers,nul doute que Louis le pourrait,sans doute d'ailleurs avec une puissance poétique plus affirmée,et des rimes plus recherchées.
RépondreSupprimerJe précise que l'auteur a très modestement envoyé sa production à titre de "commentaire". C'est moi qui ait voulu lui donner cette présentation, pour mettre son texte un peu plus en valeur que sa présentation originelle n'aurait permis.
RépondreSupprimerMais on attend Louis et on jugera sur texte.Encore faut il qu'il nous le propose et que le texte l'inspire .
RépondreSupprimerje pense que César pourrait aussi tout autant si atteler et peut être que nous aurions de bonnes surprises
On pourrait aisément comparer les traductions corses et y attribuer des appréciations
Tout ceci apporterait entre autre de grosses satisfactions et permettrait de distinguer les nuances de chacun des auteurs .
Et l'auteur apprécie
RépondreSupprimerNon pas tant les honneurs
Mais surtout qui le lit
- Écoutez-ça , mes amis, : .../...aurais-je envie de vous dire
RépondreSupprimercar s'il est vrai que je vous lis avec plaisir,
- vos vers me font sourire-
j'ai le besoin aussi de les dire
à haute voix..
pour mieux goûter à l’inépuisable facétie de nos comportements
...peut-être le démarrage d'un fablier "rutalais"
CU
.
Qui est ce CU ? Un cucu un cuccu un vrai cu. un faux cu. un cu. de jatte
SupprimerEt moi je le connais le Fabuliste..........
RépondreSupprimerChuttttttttttttt!!!
SupprimerOui mais le traducteur corse ............
RépondreSupprimer"Moi je connais le fabuliste",certains disent,
RépondreSupprimerD'autres "à haute voix,il faut qu'on le lise",
D'autres enfin,"il serait bon qu'on le traduise"
Lui vous confie qu'il craint qu'il ne s'épuise
A chercher encore des rimes en use...
C'est pourquoi il change et braque
Vous souhaitant de joyeuses Pâques
Moi je connais.. LA.. fabuliste
RépondreSupprimerVoyant que nos linguistes non sont si imminents que l'on croit voici en attendant la poésie du bouleau.Chaque nuit, le bouleau
RépondreSupprimerDu fond de mon jardin
Devient un long bateau
Qui descend ou l'Escaut
Ou la Meuse ou le Rhin.
Il court à l'Océan
Qu'il traverse en jouant
Avec les albatros,
Salue Valparaiso,
Crie bonjour à Tokyo
Et sourit à Formose.
Puis, dans le matin rose
Ayant longé le Pôle,
Des rades et des môles,
Lentement redevient
Bouleau de mon jardin.
Et maintenant je suis persuadé que celle ci non plus ne saura pas être dépeinte en langue corse.
Les défenseurs de la langue corse sont nombreux mais il y a surtout beaucoup trop de Beppe Grillo .
RépondreSupprimerForza Italia
Enivrées
RépondreSupprimerelles s'envolent
les feuilles empourprées
Elles iront jusqu'au sol
et au ras des chaussées
côtoyer les rigoles
où elles vont s'embarquer
poussées par leur idole
Eole aux frais baisers
C'était beau
et il pleure
le jeune baliveau
Il est nu à cette heure
ne trouvant pas les mots
pour cacher sa pudeur
Il interroge l'écho
de son for intérieur
- Que suis-je devenu?
Je ne me reconnais plus!
- Tu es l'arbre et tu vis
tes racines sont belles
Sois toi-même et souris
à la Saison nouvelle!
Mais méfie-toi du printemps
et de ses hirondelles
qui font des parallèles
« cù sigoni » d’antan
Car vois-tu trop tu gènes
planté comme un poteau
dans le joli caniveau
de gens de La Fontaine
(jbg)
Que c'est beau, J B , c'est vrai qu'il manque ce jeune bouleau a chaque fois qu'on passait dans ce virage , un regard admiratif ,qu'il est beau ce bouleau et quand j'ai vu la sciure qu'elle déception
RépondreSupprimerLB
J'aime cette poésie mais je ne comprends pas "cu sigoni".
RépondreSupprimersigoni: pluriel de sigone qui désigne, en corse, la scie passe partout. "Cù sigoni"=avec des scies passe partout.
SupprimerSigoni, ne signifie pas : ces cons.
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