Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
Que de souvenirs avec cette photo! L'avant dernier enfant: mon frère Pierre- François Alfonsi et le dernier Jean Noel Albertini, mon cousin disparu dans un accident, père de Géraldine. M.A.V.
RépondreSupprimerPeut être Christian le frère de Jean Noël reconnaissable à ses lunettes juste devant Pierre. M.A.V. Certainement même. M.A.V.
RépondreSupprimerOn ne dira jamais assez combien, avant les années soixante, le rôle des mulets à été important dans la vie de tous les jours ou encore lors des circonstances exceptionnelles résultant des conflits armés. Jean–Marie parle de taiseux à leur propos, y voyant une pudeur à raconter leur conduite héroique. Mais les taiseux évidemment, c’étaient leurs maîtres et aujourd’hui nous sommes nombreux à regretter que leurs témoignages sur bien de sujets n’aient pas été recueillis en temps utile. Nous avons laissé filer la génération qui avait connu la transition entre le néolithique et l’ère moderne. Elle avait tant de choses à nous apprendre. Des choses qui résultaient d’expériences séculaires. Ce n’était pas du vent. C’était du sobre, du solide, du tenace, du vrai. C’était une histoire d’hommes, faite par les hommes et non par les computers. Nous avons cru au progrès et nous y croyons toujours mais force est de constater qu’il s’accompagne de tant d’instabilités dans tous les domaines. Malheur à ceux qui ne peuvent pas suivre. Ils vont grossir les bataillons des assistés à vie.
RépondreSupprimerJe voulais en fait parler de Spanettu que j’ai bien connu. C’était un mulet remarquable par la force tranquille qu’il dégageait, par la patience et le sang froid dont il faisait preuve devant des situations parfois risquées, là où d’autres que lui s’emballaient facilement, par exemple lorsqu’ on attachait à son bât une bête capturée destinée à la boucherie. J’aimerais bien savoir ce que Spanettu est devenu après tant de services rendus. Mais il y a peut-être un paradis pour les bêtes de somme aussi…jb
et Michelle Pantanacce
RépondreSupprimerAprès une enquête menée auprès de Julia, il semblerait que Spanettu soit mort de vieillesse et que mon père l'ait enterré à "Tureno" ("i mulinelli"). JMF
RépondreSupprimerc'est avec beaucoup d'émotions que je decouvre cette superbe photo... merci beaucoup de faire revivre tout ces merveilleux souvenirs... Géraldine
RépondreSupprimer