Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais hier justement on ne l'était plus pendant huit heures. Sous la violence du vent, un poteau s'est cassé au col de San Stefanu. Alors, pas de "feux de l'amour" , pas de séance à l'assemblée réservée aux questions au gouvernement, pas de J.O etc...etc. Les ouvriers d'E.D.F ont travaillé sans relâche jusqu'à 20 heures, et nous les en remercions.
RépondreSupprimerMa, cume facia mu avanti ?
Avanti c'eranu e lampane a petrolu ,u focu di u caminu incesu e parolle d'affecione e d'amore ...
RépondreSupprimerJe reprends ma question formulée trop tard et trop loin dans le dazibao de la semaine dernière: Quel est le programme de notre cher maire-candidat et qui sont les colistiers?
RépondreSupprimerPas d'électricité mais de belles photos de kabelne! Au fait que signifie kabelne?l
RépondreSupprimerKAzan
SupprimerBELla
NEmo
KABELNE, les premières syllabes du nom de mes trois chiens disparus.
Président Hollande a rendu hommage è la grande mosquée aux musulmans mort pour la France et c'est trés bien ,on nous rapelle les morts d'iceux pour la libération de la Corse et c'est trés bien...mais l'Histoire, n'en déplaise aux socialoump, ne se regarde pas que par le petit bout de la lorgnette et parfois il faut savoir se regarder dns une glace...Tiens savez vous ce que veut dire marochinare en italien ? et ce qu'est una marochinata....allez on est dans la repentance alors je vous renvoie à Moravia.....bc
RépondreSupprimerbc , scrivi in fine !
RépondreSupprimerLa Ciociara,du nom de la région, dont Vittorio de Sica a tiré un très beau film du même nom. Avec la superbe Sophia Loren qui obtint un oscar, pour le rôle de Cesira. Le viol comme métaphore de la guerre.
RépondreSupprimerJ'ai cru lire dans un précédent débat: " l'éducation est l'affaire des parents, que l'école se charge d'abord de l'instruction"
RépondreSupprimerÊtes-vous d'accord avec cette vision du rôle de l'école?
L' école a pour principale mission d'instruire les enfants, leur donner les bases de connaissances et l'envie d'aller plus loin. Mais elle a aussi, en collaboration avec les parents,un devoir d' Education, éducation au respect de soi et des autres, à l' effort, au partage, à l' écoute.Tous les jours les enseignants enseignent et éduquent inlassablement sans prosélytisme d'aucune sorte. Séparer l' instruction et l' éducation est un non sens.M.A.V.
SupprimerQuelle extraordinaire et belle comparaison entre le verbe "AVOIR" et le verbe "ÊTRE" le tout mis en poème par "Yves Duteil".
RépondreSupprimerLoin des vieux livres de grammaire,
Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m'enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir.
Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et Être étaient deux frères
Que j'ai connus dès le berceau.
Bien qu'opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux,
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.
Ce qu'Avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
Le verbe Être s'est fait avoir.
Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu'Être, toujours en manque.
Souffrait beaucoup dans son ego.
Pendant qu'Être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.
Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités,
Pendant qu'Être, un peu dans la lune
S'était laissé déposséder.
Avoir était ostentatoire
Lorsqu'il se montrait généreux,
Être en revanche, et c'est notoire,
Est bien souvent présomptueux.
Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l'abri.
Alors qu'Être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.
Sa richesse est tout intérieure,
Ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur,
Et sa noblesse est à ce prix.
Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se faire,
Ils conjuguèrent leurs efforts.
Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâches
Pour enfin se réconcilier.
Le verbe Avoir a besoin d'Être
Parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d'avoirs
Pour enrichir ses bons côtés.
Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,
Nos deux frères inséparables
Ont pu être et avoir été.
....Oublie ton passé, qu`il soit simple ou composé,
Participe à ton Présent pour que ton Futur soit Plus-que-Parfait.....
RépondreSupprimerPas d'instruction sans éducation .La première éducation est celle d'apprendre à vivre en société...l'école apprend à vivre en société.Si l'école n'existait pas il y aurait carence...La famille ne peut pas tout faire..... Disons qu'il faut une complémentarité.PG
D'accord avec vous. Dire que l' éducation est réservée exclusivement aux parents est une erreur.L' école nous le prouve tous les jours
SupprimerDites les blogueurs ( parfois blagueurs aussi ) si on faisait un genre de pétition pour que nôtre ami Frighellu continue " U carru di a lingua"?
RépondreSupprimerTout à fait d'accord...PG
RépondreSupprimerMerci César pour l'énigme.
RépondreSupprimerSi les communistes "les vrais d’antan "revenaient ils seraient KO debout de voir ce que fait la gauche et surtout............ le PRG
RépondreSupprimervotez Vendasi
D ' accord aussi ! Ucarru di a lingua doit continuer pour le bien de ( presque ) tous. Forza Fringhellu !!!
RépondreSupprimeret si on votait RIOLACCI et GUIDICELLI du vrai de l'authentique ??
SupprimerQu'en penses tu?
L F
Déclaration de Philippe Meirieu, spécialiste des sciences de l'éducation et de la pédagogie :
RépondreSupprimerNous vivons, pour la première fois, dans une société où l'immense majorité des enfants qui viennent au monde sont des enfants désirés. Cela entraîne un renversement radical : jadis, la famille "faisait des enfants", aujourd'hui, c'est l'enfant qui fait la famille. En venant combler notre désir, l'enfant a changé de statut et est devenu notre maître : nous ne pouvons rien lui refuser, au risque de devenir de "mauvais parents"...
Ce phénomène a été enrôlé par le libéralisme marchand : la société de consommation met, en effet, à notre disposition une infinité de gadgets que nous n'avons qu'à acheter pour satisfaire les caprices de notre progéniture.
Cette conjonction entre un phénomène démographique et l'émergence du caprice mondialisé, dans une économie qui fait de la pulsion d'achat la matrice du comportement humain, ébranle les configurations traditionnelles du système scolaire.
Pour avoir enseigné récemment en CM2 après une interruption de plusieurs années, je n'ai pas tant été frappé par la baisse du niveau que par l'extraordinaire difficulté à contenir une classe qui s'apparente à une cocotte-minute.
Dans l'ensemble, les élèves ne sont pas violents ou agressifs, mais ils ne tiennent pas en place. Le professeur doit passer son temps à tenter de construire ou de rétablir un cadre structurant. Il est souvent acculé à pratiquer une "pédagogie de garçon de café", courant de l'un à l'autre pour répéter individuellement une consigne pourtant donnée collectivement, calmant les uns, remettant les autres au travail.
Il est vampirisé par une demande permanente d'interlocution individuée. Il s'épuise à faire baisser la tension pour obtenir l'attention. Dans le monde du zapping et de la communication "en temps réel", avec une surenchère permanente des effets qui sollicite la réaction pulsionnelle immédiate, il devient de plus en plus difficile de "faire l'école". Beaucoup de collègues buttent au quotidien sur l'impossibilité de procéder à ce que Gabriel Madinier définissait comme l'expression même de l'intelligence, "l'inversion de la dispersion".
Dès lors que certains parents n'élèvent plus leurs enfants dans le souci du collectif, mais en vue de leur épanouissement personnel, faut-il déplorer que la culture ne soit plus une valeur partagée.
Tout à fait d'accord avec ce qui vient d'être écrit et là on est bien loin de la pseudo théorie où l'élève doit s'élever au niveau de l'instit et non pas l'inverse !!
SupprimerOn est dans la la vraie réalité et on est loin des théories et des dogmes.
C'est tout à fait juste
RépondreSupprimerEn effet, beaucoup de temps perdu en classe pour tenter de capter l'attention des enfants et canaliser leur énergie débordante.
RépondreSupprimerDur, très dur le métier d'enseignant! C'est un véritable sacerdoce et beaucoup y perdent leur santé psychologique et parfois physique.
RépondreSupprimerQuel est le blogueur 'pédagogue' qui avait dit que l'élève devait s'élever au niveau de l'instit...?Pour rien au monde je n'aurai pas voulu être sous sa coupe!
RépondreSupprimerC'est D.D.....
RépondreSupprimerNe pourrait-on un jour avoir sur ce blog des discussions qui pourraient être intéressantes sur le fond, sans avoir à mettre en cause toujours une personne. On ne parlera plus de rien, si les personnes venimeuses n'arrêtent pas. C'est vraiment désolant!!! Vous ne savez faire que ça? Apportez des arguments pas des invectives.
SupprimerLe métier d'enseignant , déjà difficile , est devenu plus complqué avec la création des associations de parents d 'élèves......
RépondreSupprimerIl est étonnant qu'il y ait encore des jeunes qui veuillent devenir des enseignants"garçons de café" .Il faut le calme dans la classe et des enfants attentifs si on veut qu'ils comprennent des notions nouvelles et difficiles pour eux;Ecouter le maître ' respecter l'autre ; c'est un minimum non ?
RépondreSupprimerTiens donc M.Meirieu a fait un tour dans une classe et a réalisé que toutes ses théories (fumeuses???) sur l'apprentissage n'étaient pas si faciles à mettre en oeuvre. Quelle clairvoyante (et récente!!!) analyse après un passage sur le terrain.
RépondreSupprimerJe rectifie: le terme" fumeuses" était peut être un peu excessif. Il est vrai que Philippe Meirieu est un bon théoricien et que ses écrits sont intéressants et étaient très en vogue dans les années 90 . Certes la théorie nourrit la pratique, mais le terrain reste difficile à gérer et toutes les belles théories n'y sont pas toujours applicables. P.Meirieu lui même en a fait le constat semble-t-il, avec une certaine dose de pessimisme quant à l'avenir de l'Ecole et celui du Savoir.
RépondreSupprimerGilles Simeoni, prochain maire de Bastia si l'on en croit le dernier sondage paru aujourd'hui. Mais il ne faudrait pas que ses partisans crient victoire trop tôt. La Citadelle sera dure à prendre. Un regret pour les gens de gauche, que Jean Zuccarelli et François Tatti n'aient pas réussi à dépasser leurs querelles. Les voix de François vont cruellement manquer à Jean. C'est dommage. Et il en restera peut être bien des regrets.
RépondreSupprimerToutes les listes sont connues à Bastia. On attend avec impatience que notre maire fasse connaître la sienne. Il serait temps. Une deuxième liste d'opposition semble bien improbable. Mais sait - on jamais ?
RépondreSupprimerMis à part notre première adjointe si elle reste,ce qui serait une bonne nouvelle,Rutali n'a pas besoin d'une autre liste parnugesque
SupprimerCommentaire 21h33
RépondreSupprimerTrop d'arrogance, de dédain d'une part . Une légitime ambition de l'autre. Difficile de faire l'union dans ces conditions. Il fallait y penser avant.
23h40
RépondreSupprimerTout à fait d'accord. Elle doit rester.
Arrogance , dédain , légitimité ? Qui etesvous pour juger ?
RépondreSupprimerUn simple citoyen qui a le droit d'exprimer ses opinions. Il semblerait que ça dérange?
RépondreSupprimerJe suppose que vous parlez de ce commentaire : "au moins elle pourra se rendre compte" que j'ai supprimé suite à une mauvaise manœuvre. Veuillez m'en excuser... D.D.
SupprimerMais non, il ne semble pas. 14.51 répond à 13.54 qui interrogeait l'auteur du 00.30, suite au 21.30 du 20/2. Il faut suivre...
RépondreSupprimerJe vous prie de bien vouloir m'excuser de ne pas avoir su "suivre"... Voulant réparer mon erreur, je vous ai peut-être agacé(e). Pardon, oui vraiment ! ;-))
SupprimerNon D.D. Ce n'était pas pour vous, mais tout simplement une réponse au commentaire 13h54.
RépondreSupprimerDe toutes façons la politique c ' est pas vôtre truc.Laissez tomber.Trop dur pour vous.
RépondreSupprimerComprendre la politique implique une certaine ouverture d'esprit et de la souplesse.
RépondreSupprimerCritiquer,oui, débattre durement oui. Mais en signant. C' est la moindre des choses, il me semble...M.A.V.
RépondreSupprimercommentaires de 02.21 et 10.56 vous y allez un peu fort. Surtout anonymement...........
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