Épicerie Ghirlanda, puis menuiserie Perfetti - Épicerie Andréani - Coiffeur Giuliani - Cordonnier Ratti.
Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
Très bonne idée
RépondreSupprimerje me rappelle petit, jean perfetti dans son atelier qui nous donner toujours un petit bout de bois et de nous dire de toucher avec les yeux et de regarder avec les mains .il me reste encore l'odeur du bois dans la maison de mes grands parents comme souvenir .jj dias colonna
RépondreSupprimerTrès belle idée effectivement; de quoi manger,de quoi échanger autour d'un café ou d'un petit verre de rouge, de quoi aménager sa maison, de quoi se faire une" belle tête", de quoi faire réparer ses vieilles chaussures, enfin de quoi vivre en autarcie! Quel beau rêve.
RépondreSupprimerMétiers à Rutali au temps de la mondialisation????
ce commentaire un peu acide ignore le "vécu", la réalité humaine concrète de la vie de l'époque - qui n'avait pas par ailleurs que des avantages, certes.
Supprimerexcusable si l'auteur a 20 ans, beaucoup moins s'il en a 50.
Boucherie Flori qui fut par la suite boucherie (ou macellu en corse) Giacomoni.
RépondreSupprimerLouis
La dernière boucherie fut celle des Ristorcelli de Muratu
SupprimerMa madeleine c'est Seppu (et Mariuccia ,,,je crois )...et la petite armoire à cigarette où était entreposés les sprints qui nous ont éveillé et fait découvrir ...le tabac...il doit y avoir des rescapés qui s'en souviennent ?..bc
RépondreSupprimerBien sur bc , inoubliables moments de nôtre belle jeunesse à Rutali.ad.
RépondreSupprimerTiu Seppu était le frère de ma grand mère: en haut, le bar pour les hommes, en bas, l'épicerie, si ma mémoire est bonne...En tous cas, je restais au niveau du rez de chaussée pour faire les menues courses de mémé Limpia et j'avais entre 4 et 10 ans...
RépondreSupprimerLimpia