Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
.. Je me souviens de la manchette en 2 parties de chaque coté du titre du Canard Enchaîné en 1958 sous le gouvernement de Félix Gaillard qui a du faire face à une dure grève de la SNCF......On se sent tout Gaillard....Mais on est pas en train....bc
Contre une grève qui dure trop. Il faut savoir arrêter une grève qui est devevue très impopulaire.. La CGT n'a plus beaucoup d'adhérents mais elle garde un pouvoir de nuisance incontestable. Un tout petit nombre de gens peut paralyser un pays. Il n'y a qu'à voir ce que cette centrale syndicale a réussi à faire en Corse avec la SNCM. La CGT fossoyeur de cette compagnie maritime, c'est vrai. La Corse et les corses sont chaque fois pris en otage. C'est scandaleux !
La CGT appelle les intermittents à la grève pour le festival d'Avignon.. La CGT est le bras armé du parti communiste qui n'existerait déjà plus s'il n'était pas aidé par le PS lors des élections. El là, c'est le gouvernement qui est visé.. Il est évident que ce serait un très mauvais point pour Hollande si les festivals de l'été étaient annulés. Nuire au président et au gouvernement, tel est le but de ce syndicat. Tout le reste est littérature. On ne parle plus de syndicalisme, mais de politique..
Je dirais que d'une façon générale dans ce pays faire valoir ses droits légitimes passe de plus en plus pour de la contestation ou de la rébellion injustifiée venant des plus "nantis", c'est assez grave, on régresse dans tous les champs: social, économique, syndical, éducatif....la liste est longue.
UNE GRÈVE CHASSE L'AUTRE: RE-VOILÀ LA SNCM Ce sera leur troisième mouvement social depuis le début de l'année. Après dix jours d'arrêt de travail en janvier et une semaine fin mars, les syndicats du transporteur, à l'exception du Syndicat des travailleurs corses, ont déposé un nouveau préavis de grève reconductible à compter de mardi 24 juin, qui pourrait bloquer à quai les navires de la compagnie.
Les organisations syndicales de l'entreprise accusent l'Etat, qui en détient 25 %, de ne plus soutenir le plan de relance impulsé par l'ancienne direction de la SNCM, qui comprenait la commande de quatre nouveaux bateaux, plus rapides et plus économes en carburant. Un conseil de surveillance de la compagnie, vendredi, a confirmé que l'arrivée de nouveaux navires était exclue tant que leur financement n'était pas assuré.
Les syndicats craignent que Transdev, qui détient 66 % de la compagnie, ne mette en œuvre ce qu'ils appellent « une solution de discontinuité », soit un dépôt de bilan de la compagnie. Selon différents observateurs, c'est en effet la seule solution pour mettre un terme aux poursuites engagées par Bruxelles, qui réclame à la SNCM le remboursement de 440 millions d'euros d'aides publiques indues, une menace considérée comme « létale » par Transdev.
Comme "il faut savoir terminer une grève" il faut savoir terminer un débat... Que dire de ce conflit ? Qu'il a montré que les salariés eux-mêmes savent percevoir quand des revendications sont excessives et surtout quand l'opinion les perçoit mal. Une grève qui n'a pas le soutien de l'opinion est une grève perdue. Moins de 15% des cheminots ne pouvaient prétendre imposer leur point de vue à tous les autres qui avaient jugé raisonnables les points négociés par leurs directions syndicales avec la direction de la SNCF et le gouvernement. Par contre ce qui est inquiétant et tout à fait dans l'air du temps, c'est cette rébellion d'une base, de plus en plus spontanéiste, et influençable par ce gaucho-populisme ambiant qui rend la tâche d'encadrement des cadres syndicaux de plus en plus difficile. il semble aujourd'hui que les syndicats suivent plutôt les mouvements qu'ils ne les suscitent. La négociation sociale, indispensable au bon fonctionnement de toute société moderne, ne s'en trouvera pas facilitée, si tout peut toujours être remis en cause par la base ou au moins sa partie la plus turbulente.
POUR!!!
RépondreSupprimer.. Je me souviens de la manchette en 2 parties de chaque coté du titre du Canard Enchaîné en 1958 sous le gouvernement de Félix Gaillard qui a du faire face à une dure grève de la SNCF......On se sent tout Gaillard....Mais on est pas en train....bc
SupprimerContre une grève qui dure trop. Il faut savoir arrêter une grève qui est devevue très impopulaire.. La CGT n'a plus beaucoup d'adhérents mais elle garde un pouvoir de nuisance incontestable. Un tout petit nombre de gens peut paralyser un pays.
RépondreSupprimerIl n'y a qu'à voir ce que cette centrale syndicale a réussi à faire en Corse avec la SNCM. La CGT fossoyeur de cette compagnie maritime, c'est vrai. La Corse et les corses sont chaque fois pris en otage. C'est scandaleux !
De quelle grève ? SNCF SNCM POSTE INTERMITANTS..........
RépondreSupprimerSNCF, il y a une semaine qu'on en parle
SupprimerEt pourquoi? Les grèves ont déjà coulé la SNCM? voulez- vous couler la France? Il nous manque vos arguments, c'est dommage!
RépondreSupprimerExprimez-vous d'abord , ma propre opinion viendra en
Supprimerdernier.
La CGT appelle les intermittents à la grève pour le festival d'Avignon.. La CGT est le bras armé du parti communiste qui n'existerait déjà plus s'il n'était pas aidé par le PS lors des élections. El là, c'est le gouvernement qui est visé.. Il est évident que ce serait un très mauvais point pour Hollande si les festivals de l'été étaient annulés. Nuire au président et au gouvernement, tel est le but de ce syndicat. Tout le reste est littérature.
RépondreSupprimerOn ne parle plus de syndicalisme, mais de politique..
Je dirais que d'une façon générale dans ce pays faire valoir ses droits légitimes passe de plus en plus pour de la contestation ou de la rébellion injustifiée venant des plus "nantis", c'est assez grave, on régresse dans tous les champs: social, économique, syndical, éducatif....la liste est longue.
RépondreSupprimerC'est comme la grève du courrier à Ajaccio qui dure depuis un mois elle embête qui ??vive laCGT et. Le STCqui n'est guère mieux
RépondreSupprimerUNE GRÈVE CHASSE L'AUTRE: RE-VOILÀ LA SNCM
RépondreSupprimerCe sera leur troisième mouvement social depuis le début de l'année. Après dix jours d'arrêt de travail en janvier et une semaine fin mars, les syndicats du transporteur, à l'exception du Syndicat des travailleurs corses, ont déposé un nouveau préavis de grève reconductible à compter de mardi 24 juin, qui pourrait bloquer à quai les navires de la compagnie.
Les organisations syndicales de l'entreprise accusent l'Etat, qui en détient 25 %, de ne plus soutenir le plan de relance impulsé par l'ancienne direction de la SNCM, qui comprenait la commande de quatre nouveaux bateaux, plus rapides et plus économes en carburant. Un conseil de surveillance de la compagnie, vendredi, a confirmé que l'arrivée de nouveaux navires était exclue tant que leur financement n'était pas assuré.
Les syndicats craignent que Transdev, qui détient 66 % de la compagnie, ne mette en œuvre ce qu'ils appellent « une solution de discontinuité », soit un dépôt de bilan de la compagnie. Selon différents observateurs, c'est en effet la seule solution pour mettre un terme aux poursuites engagées par Bruxelles, qui réclame à la SNCM le remboursement de 440 millions d'euros d'aides publiques indues, une menace considérée comme « létale » par Transdev.
Comme "il faut savoir terminer une grève" il faut savoir terminer un débat... Que dire de ce conflit ? Qu'il a montré que les salariés eux-mêmes savent percevoir quand des revendications sont excessives et surtout quand l'opinion les perçoit mal. Une grève qui n'a pas le soutien de l'opinion est une grève perdue. Moins de 15% des cheminots ne pouvaient prétendre imposer leur point de vue à tous les autres qui avaient jugé raisonnables les points négociés par leurs directions syndicales avec la direction de la SNCF et le gouvernement. Par contre ce qui est inquiétant et tout à fait dans l'air du temps, c'est cette rébellion d'une base, de plus en plus spontanéiste, et influençable par ce gaucho-populisme ambiant qui rend la tâche d'encadrement des cadres syndicaux de plus en plus difficile. il semble aujourd'hui que les syndicats suivent plutôt les mouvements qu'ils ne les suscitent. La négociation sociale, indispensable au bon fonctionnement de toute société moderne, ne s'en trouvera pas facilitée, si tout peut toujours être remis en cause par la base ou au moins sa partie la plus turbulente.
RépondreSupprimer