Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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............................. Les fossés luisent chargés d'eau. Je marche dans l'herbe mouillée. Les hautes cimes dépouillées Sont croassantes de corbeaux. ............................................................de qui ?
Hélas ! la pluie,hélas la brume Ont abîmé mes vêtements Et je contemple obstinément La lampe claire qu'on allume. ............................................ Les fossés luisent chargés d'eau. Je marche dans l'herbe mouillée. Les hautes cimes dépouillées Sont croassantes de corbeaux. ............................................. Par cette nuit qui me tourmente Ceux qu'on retient voudraient partir... Eh ! tavernier,mon repentir Est sincère encor que je mente.
Qui je suis ?Mais toi qui es-tu? La lampe fume. Le vent qui se plaignait s'est tu. Quelle douceur ! Quelle amertume ! ...................................................... D'où je viens ? Mais toi ? d'où viens-tu? L'horloge sonne. Tu regardes, las et têtu, Mais tu ne reconnais personne.... ................................................ Où je vais? Mais où t'en vas-tu, Butant aux pierres, Par la nuit sans lune et vêtu De tes défroques coutumières? ........................................... Tu ne voudrais pas me donner la main. --Je cherche ma route- J'ai toujours suivi le mauvais chemin. ..................................................... Tu ne pourrais pas,tu ne saurais pas, -Je cherche ma route- Faire que ton pas s'accorde à mon pas.
Après une surdité subite, j'aime bien entendre le bruit de la pluie, le chant des oiseaux et le vent qui souffle au sommet des grands arbres.
RépondreSupprimerVent frais, vent du matin
RépondreSupprimerVent qui souffle aux sommets des grands pins
Joie du vent qui souffle
Allons dans le grand
Vent frais, vent du matin...
.............................
RépondreSupprimerLes fossés luisent chargés d'eau.
Je marche dans l'herbe mouillée.
Les hautes cimes dépouillées
Sont croassantes de corbeaux.
............................................................de qui ?
Francis Carco ?
SupprimerBravo!
SupprimerCompagnons
Hélas ! la pluie,hélas la brume
Ont abîmé mes vêtements
Et je contemple obstinément
La lampe claire qu'on allume.
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Les fossés luisent chargés d'eau.
Je marche dans l'herbe mouillée.
Les hautes cimes dépouillées
Sont croassantes de corbeaux.
.............................................
Par cette nuit qui me tourmente
Ceux qu'on retient voudraient partir...
Eh ! tavernier,mon repentir
Est sincère encor que je mente.
Qui je suis ?Mais toi qui es-tu?
La lampe fume.
Le vent qui se plaignait s'est tu.
Quelle douceur ! Quelle amertume !
......................................................
D'où je viens ? Mais toi ? d'où viens-tu?
L'horloge sonne.
Tu regardes, las et têtu,
Mais tu ne reconnais personne....
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Où je vais? Mais où t'en vas-tu,
Butant aux pierres,
Par la nuit sans lune et vêtu
De tes défroques coutumières?
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Tu ne voudrais pas me donner la main.
--Je cherche ma route-
J'ai toujours suivi le mauvais chemin.
.....................................................
Tu ne pourrais pas,tu ne saurais pas,
-Je cherche ma route-
Faire que ton pas s'accorde à mon pas.
Francis Carco.(vers retrouvés)
Pour la semaine de la langue française .
Hubert Tempête !
RépondreSupprimerJoli !..Mais ce n'est pas lui, bien que d'origine Corse.
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