mercredi 1 avril 2015

MON LIVRE DU...MERCREDI

CES FEMMES VENUES D'AILLEURS QUI FONT (AUSSI) LA FRANCE 

Marianne(s)
Bookshop Les femmes et la diversité dans la République 

Elles sont MarianneS. Au pluriel. Diverses et unies. Plurielles dans la République. Étrangères, elles ont participé à l’émancipation des femmes tout au long du XXe siècle. Elsa Triolet était russe, Nina Ricci italienne, Joséphine Baker noire américaine, la résistante Bertie Albrecht était allemande. Les pères de Françoise Giroud et de Simone Signoret étaient respectivement turc et polonais. Le père d’Ariane Mnouchkine était russe…
À leur suite, des femmes s’engagent aujourd’hui pour la liberté et l’égalité. Elles s’appellent Nadia, Hamida, Gisèle, Olivia, Samira, Fatima, Laurence, Yamina, Bornia, Élizabeth… Leurs parents ou grands-parents venaient d’ailleurs. Elles sont d’ici. Elles font la France.
Ce livre retrace les combats passés et présents de femmes pour leur liberté. Elles sont les visages d’une République solidaire, accueillante et généreuse qui tisse des liens fraternels avec celles qui font avancer les libertés dans le monde.

5 commentaires:

  1. Et n'oublie pas Marie Sol*, chilienne par sa maman, l'oprichniki de la hollandie et son balai pour nettoyer la médecine libérale....ce qui marchait un peu chez nous...

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  2. Le premier paragraphe est fondé (encore en as-tu oublié plus d'une).
    Le deuxième, pour me convaincre, appellerait d'abord quelques précisions sur ces nouvelles "libératrices" , car "venir d'ailleurs" n'est pas suffisant pour "faire la France". Mesrine aussi venait d'ailleurs...pour n'en citer qu'un!
    "Leurs parents ou grands-parents venaient d’ailleurs. Elles sont d’ici. Elles font la France". C'est beau comme de l'antique! MDR !!!

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    1. Le propos du livre ne dit pas que venir d ailleurs suffit il dit que certaines figures qui ont contribué au rayonnement de la France venaient d ailleurs . Il ne faut pas l oublier et il ne faut pas rejeter à priori tous ceux qui viennent d ailleurs . C est tout

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    2. Je souscris tout à fait et textuellement à cette précision.
      Le sens de mon propos était seulement d'alerter contre une dérive "branchée" de notre époque: "le French-bashing" (dont je ne t'accuse pas) qui est à mes yeux suicidaire parce que signe de confusion mentale- laquelle est bien une caractéristique majeure de notre époque.

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  3. Une approche singulière...
    Attali affirmait un jour que les grands hommes (et femmes) qui avaient fait la gloire ou l'honneur de la France venaient tous d'ailleurs - car les seuls "de souche", sans doute, comptaient pour du beurre?
    C'est parce qu'ils (elles) ont voulu (un bon point pour eux-elles) ou pu (un bon point pour la République) s'intégrer qu'il en fut ainsi.
    C'était l'époque de l'assimilation républicaine, un gros mot aujourd'hui pour beaucoup...

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