Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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mardi 1 décembre 2015
Une vue rare du magnifique campanile de Giotto à Florence
Souvenir. Une chose que les plus jeunes ne verront jamais : Florence dans les années 70 . Les américains ne venaient pas, ni les chinois , ni les russes, les japonais venaient avec leur comité d’entreprise faire l’Europe en 8 jours. L’Italie était pauvre et rendait la monnaie en bonbon ou en timbre, je n’invente rien. La France était riche, le change franc/lire était une aubaine. Un soir de Mai en 1976 vers 17h avec mon épouse nous étions assis sur les escaliers du parvis de la Cathédrale regardant de loin les fresques de Pisano sur la porte du Baptistère que le soleil couchant faisait briller mais avec cette douce lumière florentine. Au loin un car s’arrête, en descend une cohorte de japonais, sourire d’une dent de sagesse à l’autre, la luette frétillante et c’est nous qu’ils se mirent à photographier, les amoureux florentins ! nous gratifiant de mille courbettes .J’ai dit mon épouse ,tu vois dans le cerveau d’un japonais nous somme plus beaux que la Cathédrale et le Baptistère réunis . Non on ne verra jamais plus ça.
Voir Florence...et puis mourir....
RépondreSupprimerComme dirait Julien.
RépondreSupprimerPure merveille !
RépondreSupprimerSouvenir.
RépondreSupprimerUne chose que les plus jeunes ne verront jamais : Florence dans les années 70 . Les américains ne venaient pas, ni les chinois , ni les russes, les japonais venaient avec leur comité d’entreprise faire l’Europe en 8 jours. L’Italie était pauvre et rendait la monnaie en bonbon ou en timbre, je n’invente rien. La France était riche, le change franc/lire était une aubaine.
Un soir de Mai en 1976 vers 17h avec mon épouse nous étions assis sur les escaliers du parvis de la Cathédrale regardant de loin les fresques de Pisano sur la porte du Baptistère que le soleil couchant faisait briller mais avec cette douce lumière florentine. Au loin un car s’arrête, en descend une cohorte de japonais, sourire d’une dent de sagesse à l’autre, la luette frétillante et c’est nous qu’ils se mirent à photographier, les amoureux florentins ! nous gratifiant de mille courbettes .J’ai dit mon épouse ,tu vois dans le cerveau d’un japonais nous somme plus beaux que la Cathédrale et le Baptistère réunis . Non on ne verra jamais plus ça.