Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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mercredi 6 janvier 2016
L'HISTOIRE DES LECTEURS...
Trempez votre plume dans l'encrier etc'est parti pour une belle histoire à nous offrir...
Mon nom est Furlina. Je vis avec ma nombreuse famille dans un coin de campagne éloigné du village. Mes parents sont sévères : Ne sortir du terrier que le soir au crépuscule ou le matin à l’aurore , et ne pas s’éloigner au-delà du gros châtaignier. Je suis très surveillée par la tante Toba : « Furlina tu es trop curieuse, Furlina tu es trop gourmande, Furlina tu es trop confiante, il t’arrivera malheur comme à l’aïeule Tubigna qui a disparu un soir pour ne plus revenir. Elle, qui aimait tant le fromage et le saucisson » ! Un jour, où j’échappai à sa surveillance, me glissant sous les fougères, j’ai découvert un coin enchanteur : Verte et blanche, une source jaillit d’un rocher. Oh, quel bruit ! Quelle cascade ! J’y ai fait la connaissance d’un gros lézard vert qui prenait un bain de soleil. Nous avons bavardé .J’ai appris qu’il était malheureux ; sa couleur l’écartait de ses cousins. J’ai raconté çà à mes frères et sœurs qui m’ont traitée de folle. Un lézard vert, çà ne peut pas exister! (à suivre.)
Mon nom est Furlina. Je vis avec ma nombreuse famille dans un coin de campagne éloigné du village. Mes parents sont sévères : Ne sortir du terrier que le soir au crépuscule ou le matin à l’aurore , et ne pas s’éloigner au-delà du gros châtaignier. Je suis très surveillée par la tante Toba : « Furlina tu es trop curieuse, Furlina tu es trop gourmande, Furlina tu es trop confiante, il t’arrivera malheur comme à l’aïeule Tubigna qui a disparu un soir pour ne plus revenir. Elle, qui aimait tant le fromage et le saucisson » !
RépondreSupprimerUn jour, où j’échappai à sa surveillance, me glissant sous les fougères, j’ai découvert un coin enchanteur : Verte et blanche, une source jaillit d’un rocher. Oh, quel bruit ! Quelle cascade ! J’y ai fait la connaissance d’un gros lézard vert qui prenait un bain de soleil. Nous avons bavardé .J’ai appris qu’il était malheureux ; sa couleur l’écartait de ses cousins.
J’ai raconté çà à mes frères et sœurs qui m’ont traitée de folle. Un lézard vert, çà ne peut pas exister! (à suivre.)