Voici un "quatrain".
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"Depuis combien d'années sont-elles là, immobiles,
Ces vieilles pierres moussues sous les halliers hostiles.
Le long des chemins creux, témoins des temps d'antan,
Sentinelles figées, ne gardant que le vent."
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Imaginez une suite à ces quatre vers en écrivant vous-mêmes un "quatrain"... (en vers ou en prose).
Gardiennes des souvenirs,vous me parlez toujours,
RépondreSupprimerMes genoux voyez-vous s'en souviennent encore;
Et pour moi ,très souvent,au cours d'une promenade
De sièges vous me serviez hélas peu confortables.
Quand venait juin et ses émois,
RépondreSupprimerNous cherchions la fraise ds bois;
Nos mains se trouvaient enlacées
Parmi les fruits rouges écrasés;
Allez faites parler votre muse....
RépondreSupprimerPassent Libecciu et Tramontane,
RépondreSupprimerPasse la vache, passe l'âne,
Passe l'enfance à toute allure,
Passe la vie, restent les murs.
Continuons...c'est beau ...c'est beau!!!!
RépondreSupprimerMurs, toujours des murs!
RépondreSupprimerDes murailles de Chine à celles de Berlin,
Mur des Lamentations ou bien mur sartrien,
De vous, pierres moussues, plus me plaît le murmure...