Simon Sabiani à gauche, Paul Bonnaventure Carbone au centre et François Spirito debout, à Marseille en 1934.
Ce soir sur ARTE, "Mafia et République" à partir de 20h50. Pierre Péan et Christophe Nick, signent une série documentaire en trois volets sur les liens troubles entre appareil d'État et pègre corse. Cette plongée dans l'histoire du crime débute dans les années 1920 avec l'avènement du premier parrain, Paul Carbone. Elle s'achève presque un siècle plus tard avec la chute de la dernière grande figure du milieu, Michel Tomi. D'Ajaccio à Tanger en passant par le Gabon et les États-Unis, c'est une saisissante immersion de trois heures au cœur de la part d'ombre de la République."
Extrait de TÉLÉOBS
Vu. Très bien documenté. Mais quelle image des corses et de la Corse, encore une fois..!
RépondreSupprimerRemarquable!...Et quelle continuité dans les rapports entre la pègre corse et le monde politique...Mais quelle image, hélas réelle, donnons-nous de notre "culture"...!
RépondreSupprimerLimpia
C'est la "culture italique" dont nous participons beaucoup, que ça plaise ou pas à certains.
SupprimerCe n'est pas une image mais un vérité et d'autres vous parleront de racisme anti corse !Foutaise .
RépondreSupprimerSans parler des héros nationalistes mais qui peut encore les croire oui des bénis oui oui
vous l avez vraiment amer nous sommes au pouvoir et comptant y reste tres longtemps dommage pour vous mais c est fini
RépondreSupprimerDD mais que faites vous !
SupprimerAlors ça... mais qui m'interpelle ainsi ? À quoi faites-vous allusion ?
SupprimerNostalgie....Nous les étudiants arrivés début des années 60 gardons un souvenir ému du Marseille de ces années . Marseille tranquille où l'on pouvait se promener à toute heure , dans tout les quartiers . Un maire efficace et pour la tranquillité Antoine et Mémé..l'un au Versailles , l'autre au Méditerranée. En ces temps là c'était comme à la sécu..pas de trafic ,de braquage , pas de jeunes demoiselle mis au tapin ...sans entente préalable avec les frères...et si quelques trublions dérogeaient les voilà prenant le chemin des Goudes pour s'apercevoir de la difficulté de la natation avec une gueuze de cinquante kilos attachée au pieds. Oui c'était le bon temps . On les a éliminé et Marseille est devenu le chaos qu'il est toujours. Les institutionnels ne comprendrons jamais ..quand on tue le diable il renaît des centaines de diablotins......bc
RépondreSupprimerSacré bc! Mais c'est pourtant vrai, ce que tu dis!
SupprimerVous deviez être amoureux(se) pour voir ainsi la vie en rose dans les années 60 à Marseille.J'ai plutôt le souvenir d'une ville sale et de'agents du FLN( Guerre d'Agérie) qui rackettait les Coréligionnaires et EN CAS DE REFUS le châtiment était exemplaire.Vous deviez être "uphorique" comme dit ma voisine
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