Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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Le bonheur n' était sans doute pas leur première préoccupation comme il l' est aujourd'hui hui de façon peut être un peu systématique voire obligatoire .En revanche les femmes de cette époque étaient quand même encore moins bien loties que leurs hommes ...
Avaient-elles seulement l'idée du bonheur.TEMPI Fà ,les familles étaient nombreuses et souvent endeuillées.Les femmes étaient éternellement habillées de noir,coiffées d'un foulard noir.Comme dans certains pays méditerranéens, on vivait plus dans le souvenir des morts qu'avec les vivants
Avaient-elles seulement l'idée du bonheur.TEMPI Fà ,les familles étaient nombreuses et souvent endeuillées.Les femmes étaient éternellement habillées de noir,coiffées d'un foulard noir.Comme dans certains pays méditerranéens, on vivait plus dans le souvenir des morts qu'avec les vivants
Probablement pas, mais gardons l'esprit lucide: les hommes de cette époque, de même milieu social, l'étaient-ils davantage? Ne mélangeons pas tout!
RépondreSupprimerElles ne perdaient pas une minute de leur temps ces femmes vaillantes !
RépondreSupprimerLe bonheur n' était sans doute pas leur première préoccupation comme il l' est aujourd'hui hui de façon peut être un peu systématique voire obligatoire .En revanche les femmes de cette époque étaient quand même encore moins bien loties que leurs hommes ...
RépondreSupprimerAvaient-elles seulement l'idée du bonheur.TEMPI Fà ,les familles étaient nombreuses et souvent endeuillées.Les femmes étaient éternellement habillées de noir,coiffées d'un foulard noir.Comme dans certains pays méditerranéens, on vivait plus dans le souvenir des morts qu'avec les vivants
RépondreSupprimerAvaient-elles seulement l'idée du bonheur.TEMPI Fà ,les familles étaient nombreuses et souvent endeuillées.Les femmes étaient éternellement habillées de noir,coiffées d'un foulard noir.Comme dans certains pays méditerranéens, on vivait plus dans le souvenir des morts qu'avec les vivants
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