mercredi 1 mars 2017

Le "coin" écriture...



"Écrire" _ Grand Corps Malade

Et si l'art était juste un moment d'absence,
Où la lucidité perd contre l'inconscience,
Alors l'art mystique signera l'armistice
Avec les arnaqueurs remplis d'artifices

Et si l'art était juste un moment d’émotion
Où l'aiguille de l'horloge suspend sa rotation
Alors l'heure aura tord face à l'art oratoire
Lorsque les créateurs raconteront leurs histoires.


À chacun son Slam... Nous attendons le vôtre ! 👀

5 commentaires:

  1. Saviez-vous que Grand Corps Malade a un ami proche à Rutali et que encore enfant il venait en vacances avec ses parents au village "u Nebbiu" à Olmeta di Tuda où, il le rappelait lui-même, il avait appris à nager dans la piscine du village.

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  2. Oui ça avaiy déjà été dit sur le blog. Un chouette type en tout cas et un beau talent!

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  3. Dans le film "Patients" ,il raconte son autobiographie , tirée de son livre éponyme.

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  4. Un film émouvant, rempli d'espoir et quelle gaité ! Chapeau bas pour ces tous ces para- et/ou tétra qui nous forcent l'admiration en faisant montre de ce cet énorme courage. Il y a bien sûr les patients mais surtout n'oublions jamais tout le staff médical! Médecins, infirmiers et infirmières
    aides-soignants(es), kinés, ergothérapeutes et je dois en oublier....que nous avons côtoyé quelque temps. Encore un grand merci à eux.

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  5. titre:Feux intérieurs. Ô les beaux jours de mon village,du temps de ma jeunesse heureuse,souvenirs délicieux,souvenirs des jours joyeux,nostalgie de l'enfance,âge de l'innocence.
    -Je vous invite à entrer dans mon jardin où courent des ruisseaux,où des parfums mêlés embaument l'air;vous y serez les bienvenus !
    -A vous qui voudrez bien me suivre,de toutes ces fleurs je vous fait don. Prenez donc,pour ne pas m'oublier, ce dernier brin de myosotis,et quelques pensées,enfants sages de la raison,en souvenir d'un poète maudit,guetteur pensif de la fuite des ans,sur les chemins de la vie pour un éternel printemps.
    L'Artiste vieillissant,assis sur un vieux banc,au fond de son jardin,à l'ombre d'un pêcher fleuri de "rires roses",porte son regard vers le soleil couchant d'où émane une force vitale,et parle d'immortalité.
    L.F.P.

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