Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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Film : LA DOULEUR d’ Emmanuel Finkiel, d’après l’œuvre éponyme de Marguerite Duras (1985) Paris, juin 1944 :L’écrivain Robert Antelme, résistant , est arrêté et déporté. Son épouse Marguerite( Mélanie Thierry), elle aussi résistante, très angoissée, fait la connaissance d’un agent français de la Gestapo(Benoît Magimel), admirateur de la romancière. Marguerite aura avec lui une relation ambigüe car elle a peur, en voulant aider son époux, de se faire piéger par ce collaborateur empressé. A la fin de la guerre on assiste à la liesse de la libération de Paris, au retour des prisonniers et des détenus des camps de concentration. Ce sera une terrible période d’attente pour Marguerite dans l’espoir et le doute du retour de Robert. J’ai trouvé ce film très émouvant et angoissant aussi en empathie avec l’héroïne . Très belle performance de Mélanie Thierry. De belles images : Marguerite vêtue de rouge qui roule, seule, sur la place de la Concorde vide. Images floutées, dédoublement du personnage, reflétant le désordre de la pensée, une sorte de cacophonie mentale. Et la dernière image montrant une silhouette frêle avançant vers la mer avec, en voix off, le texte de Marguerite Duras. (Battine) A voir en ayant un bon moral.
Si l'on apprécie Kubrick : Stanley Kubrick l'humain, ni plus ni moins, Michel Chion. Cahiers du Cinéma (2005). Une analyse fine de chacun de ses films. L'analyse est intéressante car elle replace les films dans un contexte historique, fait le lien avec la littérature et la psychanalyse. Vous trouverez e-être des réponses à certaines scènes énigmatiques.
La jeune fille à la perle de Vermeer de Delft,Le Dit de Tian-Yi de François Cheng de l'Academie Française (Le Livre de Poche Édition 18 -février 2017 page 242 )SF
Youkali...par Laurence Guillod ou Barbara Hannigan....Kurt Weill ....bc
RépondreSupprimerFilm : LA DOULEUR d’ Emmanuel Finkiel, d’après l’œuvre éponyme de Marguerite Duras (1985)
RépondreSupprimerParis, juin 1944 :L’écrivain Robert Antelme, résistant , est arrêté et déporté. Son épouse Marguerite( Mélanie Thierry), elle aussi résistante, très angoissée, fait la connaissance d’un agent français de la Gestapo(Benoît Magimel), admirateur de la romancière. Marguerite aura avec lui une relation ambigüe car elle a peur, en voulant aider son époux, de se faire piéger par ce collaborateur empressé.
A la fin de la guerre on assiste à la liesse de la libération de Paris, au retour des prisonniers et des détenus des camps de concentration. Ce sera une terrible période d’attente pour Marguerite dans l’espoir et le doute du retour de Robert.
J’ai trouvé ce film très émouvant et angoissant aussi en empathie avec l’héroïne . Très belle performance de Mélanie Thierry. De belles images :
Marguerite vêtue de rouge qui roule, seule, sur la place de la Concorde vide.
Images floutées, dédoublement du personnage, reflétant le désordre de la pensée, une sorte de cacophonie mentale. Et la dernière image montrant une silhouette frêle avançant vers la mer avec, en voix off, le texte de Marguerite Duras.
(Battine)
A voir en ayant un bon moral.
Si l'on apprécie Kubrick : Stanley Kubrick l'humain, ni plus ni moins, Michel Chion. Cahiers du Cinéma (2005). Une analyse fine de chacun de ses films. L'analyse est intéressante car elle replace les films dans un contexte historique, fait le lien avec la littérature et la psychanalyse.
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La jeune fille à la perle de Vermeer de Delft,Le Dit de Tian-Yi de François Cheng de l'Academie Française (Le Livre de Poche Édition 18 -février 2017
RépondreSupprimerpage 242 )SF