C'est un envoi de Noël Alfonsi.
Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
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Là hélas il n’y a que deux survivants...
RépondreSupprimerOn ne publie pas ces photos anciennes pour compter les morts et les survivants, mais pour se souvenir et ne pas oublier ces personnes que beaucoup d'entre nous avons connues et estimées.
RépondreSupprimerBien parlé césar jS
RépondreSupprimerIl y a quatre cousin.es de mon grand père Benoit...peut être 5...Julia peut tu me renseigner...merci bc
RépondreSupprimerEn effet benoit Il y a cinq cousins germains de ton grand père m’a mère ,ses frères dominique,benoit pepedru et leur sœur sebastienne a bientôt julia
RépondreSupprimerCousins germains je précise
RépondreSupprimerAu milieu des années trente une lettre est arrivée à Rutali adressée à Monsieur Benoît Cordoliani,Il a fallu l'ouvrir pour déterminer le destinataire,en
RépondreSupprimereffet ils étaient trois à porter mêmes prénoms et noms:Benoît ,fils d'Ange-Baptiste et de Noelie,Benoît fils de Jean-baptiste et de Julie(époux de Pauline
Finocchy) et Benoît le grand-père de Benoît,qui signe souvent b c dans le blog.
Benoit Cordoliani de Jean Baptiste et de Julie est assis sur la chaise sur la photo..avec Pauline ils habitaient Alger...pendant la guerre ils nourrissaient les soldats de la famille de l’armée Juin...Jean Baptiste , Etienne , Jean Noël ( Jeannot ) mon père son frère Antoine...j’avais rencontré un jour le maire (+) de Lumio Ceccaldi qui me dit ..mais à Alger avec d’autres soldats corses on allait manger chez un Benoit Cordoliani....souvenir...( sa petite fille Isabelle a restauré la maison Rutali...)....bc
RépondreSupprimerElisabeth,la fille de Paul et de Simone.
RépondreSupprimerEn 1944-45,notamment,l'appartement algérois de Benoît et Pauline Cordoliani à généreusement ete ouvert à tous les jeunes rutalais sous les drapeaux
RépondreSupprimerdans la ville blanche,parents,amis et même simples connaissances d'autres localités.
C'était pour eux "la maison du Bon Dieu"ou accueillis avec affection et sollicitude,réconfortés par les bons plats de Pauline,ils pouvaient parler du pays en corse.
Benoît m'a raconte,qu'un jour,ému par les yeux plein de larmes d'un jeune militaire ,il lui avait demandé:"F .......,si cusi tristU,brami à mammata,à to famiglia?" Et F.......de répondre"Inno.....pensu à e mo câpre...."
Pas d'accent sur "C A P R E" bien sur ,mais mon IPAD est têtu........
RépondreSupprimerQui est le jeune homme aux lunettes derrière Namaria ?
RépondreSupprimerRené...pédiatre..
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