Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
Quelles sources et dates pour la maison Matteu et Maria Petra Finocchi ?(actuellement Gabelli)merci.
RépondreSupprimerPetite curiosité: Ces salles étaient -elles prêtées gracieusement ou louées par la commune ?
RépondreSupprimerà 13h47,les archives du blog du 8 Décembre 2009 répondent à votre question avec notamment un fac-simple du bail entre le propriétaire et le maire .
RépondreSupprimerVous y trouverez des informations intéressantes sur l'école de Rutali de 1875 à 1884 et même les noms d'instituteurs de l'époque.
Ayant des documents familiaux à ce sujet ,je les avais communiqués à Louis dont nous connaissons bien au blog le vif intérêt et l'amour qu'il porte en véritable historien à notre village.
À priori ,il n'y a pas eu d'école dans l'ancienne maison Matteu et Maria Petra Finocchi ,il y en a une dans l'ancienne maison Rutali ,vendue par Cécile
Rutali-Cordoliani à sa belle-sœur,mère d'Odette et de notre regrettée Viviane.SF
Maison Gabelli actuellement : où habitaient famille Maria Petra et Matteu Finoccchi, puis famille Paulette Morelli épouse Cathala
RépondreSupprimerSur le blog de Voce di Rutali : 8 décembre 2009 :
A scola di Rutali da 1875 à 1884. Sott'à Terza Republica
Nous reproduisons ci-dessus un fac-similé du bail à louer conclu entre le propriétaire Mathieu Rutali et le maire Pierre Marie (Pier Maria) Finocchi le 1er juillet 1875. Matteu Rutali donne sa maison en location pour six ans afin d’y installer l’école et le logement de l’instituteur plus à sa disposition un jardin de 120 m2, moyennant le prix annuel de cent vingt francs. Au verso de ce contrat, figure l’approbation du préfet de la Corse le 27 octobre à Ajaccio.
Où se trouvait cette école ? À l’actuelle maison de Viviane Cordoliani Tasei près de la Funtana Vechja. Nous savons que la famille Rutali y résidait. Elle a été refaite vers 1965 avec les mêmes pierres. Matteu de par son mariage avec Chjara Maria fille de Pasquale Chiarelli et de Maria Anghjula Perfetti a pu hériter d’une autre maison celle en haut du village avec la loghja. De ce premier mariage naquirent des enfants morts en bas âge et une fille Angèle (1861-1928). Son ancienne maison de A Funtana sera donnée en dot plus tard par Paulucciu fils de Matteu, à sa fille Cécile pour son mariage avec Jean Marius Cordoliani plus six pièces du Palazzu de l’Ortale.
Nous avons trouvé sur le libretto de la famille Perfetti aux XVIIIe et XIXe siècles, une page sur les quatre enfants de Pasquale Chiarelli de 1822 à 1834 et plusieurs pages de comptes de Matteu dès 1871 avec pour la période de 1875-1881, le nom de quatre instituteurs qui ont exercé : Peloni, Ferrandi, Nicoli et Taddei car ceux-ci lui achetaient des vivres.
De 1881 à 1884, c’est Castellani Jean (Ghjuvanni) qui loue sa maison au même prix annuel. Une pièce au premier étage pour la salle d’école et trois pièces au deuxième pour le logement soit deux chambres et une cuisine. Plus un jardin attenant d’un are. Le contrat a été passé avec le maire François (Francescu) Maroselli. D’après les renseignements fournis par Suzy, il pourrait s’agir de l’actuelle maison Perfetti et Bragoni, place Bastelica. Pour 1882, sur un autre librettu de Matteu, parmi les preneurs du vin qu’il vendait, se trouve l’institutrice ce qui prouve qu’il y avait une enseignante mais nous ne connaissons pas son nom.
Nous avons là deux localisations de l’école de Rutali sous le début de la Troisième République française en cette période qui est censée donner une grande importance à l’école. Peut-être des archives sont restées sur ces années à Rutali et ailleurs sur le nombre des élèves et leur degré d’apprentissage d’une langue qui n’était pas celle du peuple. Mais sans doute le patriotisme aidant, l’assimilation a été mieux acceptée. Il faudrait connaître si l’impact laïque a joué ou pas. Car la Corse est imprégnée de christianisme profond.
Louis Giacomoni.
Qui continue de faire des ravages dans l’ esprit des jeunes enfants , car le « Christianisme profond » de la Corse est surtout fait de superstitions et rites obscurantistes .
RépondreSupprimer17h11-Tout ce qui est excessif est insignifiant.Charles-Maurice de Talleyrand -Périgord.(2 février 1754)
RépondreSupprimerCette citation n'a pas pris une ride.................
A 16.20. La personne qui prétend dans son commentaire qu'il n'y a pas eu d'école dans la maison di Matteu et Maria Pétra Finocchi (Maison Gabelli actuelle, a du quitter le village il y a très longtemps.
RépondreSupprimeren 1957/58 l'école était dans quelle maison svp!!!
RépondreSupprimerjjdc
Pendant l’été 1957 le groupe scolaire actuel dans la Padula était en plein chantier...une partie des maçons italiens ( et pour certain leur famille ) était logés dans le sous-de ma maison actuelle , d’autres dans les sous- sol de la maison Négroni ( de Jeannine et Jean Louis aujourd’hui ) ...je ne sais plus si l’école a fait la rentrée 57...bc
RépondreSupprimerRemarques:il n'y a pas eu de réponse à 13 h 21.
RépondreSupprimer16 h 20 à bien dit "à priori" mot trop difficile pour certains?
De quelle année date la construction du groupe scolaire?
.En 1957 j’etais encore à l’école au Rez de chaussée de la maison Finocchi actuellement Scani la mairie se trouvait également à cet endroit. Je pense que la première rentrée scolaire du groupe scolaire date de 1958 JS
RépondreSupprimerY aurait-il confusion entre les deux maisons anciennement Finocchi,actuellement respectivement Scani et Gabelli ?
RépondreSupprimerAvec retard merci de lire fac-simile.
RépondreSupprimerLes correcteurs de l'Ipad n'ont pas connu les dictées de Monsieur Dominici,je pense souvent à Lui avec admiration,reconnaissance et affection.SF