mardi 20 novembre 2018

Autour du livre...


"Je m'appelle Colin Rémy. J'ai 16 ans. Je suis orphelin que l'on dit, mais je ne l'ai jamais cru. Je suis retourné dans la
petite île anglo-normande où j'ai passé les premières années de ma vie. C'est alors que tout a basculé dans la folie"

Le dernier de Bussi ressemble à l'un de ses premiers roman. Je ne vais pas faire la fine bouche, j'ai apprécié celui-ci aussi. L'écriture est fluide, les intrigues quoique souvent tortueuses passent sans prise de tête… ce polar tient la route… l'intrigue progresse lentement, puis s'accélère… Excellente lecture même pour les jeunes qui pourront oublier un peu leur smarphone ! _ (Pierrette Girardie)



Pakistan, Inde, Afrique, guerre d'Algérie, catastrophe du Renosu, Corse année 1962.
Le roman fiction progresse autour de 3 personnages peu ordinaires, tout à la fois dans la désespérance et dans la rébellion envers l'absurdité de la vie. Un peu de Camus et quelques passages un peu déroutants mais une exquise lecture en langue corse. _
(envoi anonyme)

3 commentaires:

  1. Esaltata,ostinata, stravagante, Austina surtia di capu ma mi lasciava invadisce da u so deliriu misticu è da a nota profumata d'artemisia è di viola chì paria liberà si di a so pelle. È poi m'hà cappiatu, ingunfiata da una certezza nevrotica è onesta : "Sò e donne chì portanu l'amore mai l'omi."
    Manghjava u so aranciu.E so dite eranu piene di suchju, e so labbre dinù.Sputava e granelle è si campava.Quand'ella hà finitu, aghju pigliatu a so manu è l'aghju leccatu e dite ; ùn dicia nunda.
    È poi, aghju leccatu a so manu è aghju leccatu e so labbre.
    "Hè pocu bonu st'aranciu !"aghju dettu.



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  2. Et bla bla bla .....c'est peut-être captivant...mais j'ai du mal à lire et à comprendre....autrefois ,j'ai reçu des coups de baguettes sur les doigts ..parce-que je parlais en corse,et aujourd'hui,je suis frustrée ..Par pitié ,attendez quelques années encore ...pour écrire tout dans notre belle langue....les jeunes sont certainement mieux armés....ils ne reçoivent que des encouragements...et nous les vieux..nous parlerons peut-être le langage des anges.

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  3. Désolé ! C'est ma période littérature corse

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