Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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Le jour se terminait par un feu gigantesque On eut dit que le ciel était tout enflammé , Et nous contemplions cet horizon dantesque En échangeant un doux langage clairsemé .
Le zéphyr parfumé caressait nos visages Et le désir aidant mon amour hasardeux Je vous tins des propos contraire aux usages Qui nous firent frémir et rire tout les deux .
La plage était déserte et la mer déjà sombre Un voilier s’attardait accosté au ponton Et mes doigt enjôleur frôlaient dans la pénombre Votre robe légère en voile de coton .
bc
Des mouettes rasaient en silence les vagues Passant devant nos yeux comme un rêve sans bruits Et ma main taquinait sous des dentelles vagues Votre peau de satin plus fraîche que la nuit .
Ho césar ! C est encore toi cette photo? Il faudra que que je dévalise un chapelier pour te dire encore CHAPEAU. !!!!!!!!
RépondreSupprimerLe jour se terminait par un feu gigantesque
RépondreSupprimerOn eut dit que le ciel était tout enflammé ,
Et nous contemplions cet horizon dantesque
En échangeant un doux langage clairsemé .
Le zéphyr parfumé caressait nos visages
Et le désir aidant mon amour hasardeux
Je vous tins des propos contraire aux usages
Qui nous firent frémir et rire tout les deux .
La plage était déserte et la mer déjà sombre
Un voilier s’attardait accosté au ponton
Et mes doigt enjôleur frôlaient dans la pénombre
Votre robe légère en voile de coton .
bc
Des mouettes rasaient en silence les vagues
Passant devant nos yeux comme un rêve sans bruits
Et ma main taquinait sous des dentelles vagues
Votre peau de satin plus fraîche que la nuit .