Cet article, publié en novembre 2016 par U cuccu, continuant à recevoir des commentaires, (dont le sixième ci-dessous), j'ai décidé de le faire "remonter"...
Anonyme26 février 2019 à 20:18
BONJOUR,
En faisant des recherches sur mon grand oncle, le Commandant QUÉRÉ, je lis que vous avez voyagé sur le paquebot du Commandant QUÉRÉ. Auriez-vous des informations sur mon Grand Oncle, anecdotes de voyage sur ce bateau et photos de l'intérieur ou extérieur ?
Vous en remerciant
Y. QUÉRÉ
En faisant des recherches sur mon grand oncle, le Commandant QUÉRÉ, je lis que vous avez voyagé sur le paquebot du Commandant QUÉRÉ. Auriez-vous des informations sur mon Grand Oncle, anecdotes de voyage sur ce bateau et photos de l'intérieur ou extérieur ?
Vous en remerciant
Y. QUÉRÉ
Commandant Queré , Sampiéro Corso et le Cyrnos la trilogie 50/ début 60 des bateaux rois des sacs vomitoires ..P..ils bougeaient par mer calme ..les 4 émes classes dans la soute avec la chaise longue basique...les voitures débarquées au palan...Le premier ferry fut le Napoléon en 1959 qui a eut une fin tragique puis le Fred Scamaroni en 63 qui lui aussi à eut une fin verticale.... ..bc
RépondreSupprimerC'était le plus rapide de tous (SANPIERRO, CYRNOS) , nostalgie .
RépondreSupprimerJe n'oublierai jamais une traversée Marseille-Bastia sur le "Cdt-Quéré" à Noel 1959 !!!!!!!!!!!!!!!!!J'aurais vendu père et mère pour que ça cesse!
RépondreSupprimerJe m 'en souviens Benoit ...des traversées épiques .... Les chaises qui valsaient sur l ' entrepont .... le mal de mer .... Et cette odeur ....
RépondreSupprimerBONJOUR,
SupprimerEn faisant des recherches sur mon grand oncle, le Commandant QUÉRÉ, je lis que vous avez voyagé sur le paquebot du Commandant QUÉRÉ. Auriez-vous des informations sur mon Grand Oncle, anecdotes de voyage sur ce bateau et photos de l'intérieur ou extérieur ?
Vous en remerciant
Y. QUÉRÉ
la généalogie m'a amené vers ce site.... Guillaume Quéré était un de mes aïeux par la branche maternelle.. J'aimerai trouver une photo de ce commandant... Merci par avance si vous pouvez m'aider dans ce souhait
SupprimerBonjour, "UNKNOWN du 11 juillet 2021 à 13H27" en revenant sur ce blog, je découvre votre message posté après le mien. Si Guillaume QUÉRÉ était votre grand oncle par la branche maternelle, il était lui aussi mon grand oncle mais par la branche paternelle des QUÉRÉ. Si vous souhaitez me contacter, cordialement, Y. QUÉRÉ
SupprimerMOI !!
RépondreSupprimerMais, là, je me fais du mal...
BP
J'adore les vieilles photos et j'ai la manie de faire un peu d'epigraphie..on peut dater cette photo grosse modo vers 1955. On voit les vieux hangars du port où on passait la douane..mais oui les jeunes !! ..ensuite la reconstruction de l'hôtel Cyrnos détruit par les bombardements de 1943 au fond de la place avait commencé ..le gros œuvre à peine achevé le chantier est resté en l'état des années ..il servait de lieu de rencontre coquines entre jeunes..pas vrai les vieux !!!...et puis ce fut la Mairie de Bastia..
RépondreSupprimerHeureusement pour moi, il y avais aussi le " ville d'Ajaccio " et le " ville d'Alger " ça c'était de la croisière .
RépondreSupprimerNe pas oublier le CORSE et le CONTE DE NICE à l'époque c'été la CGTM .
RépondreSupprimerL'affreux immeuble où se trouve la poste n'existait pas encore.
RépondreSupprimerS'ils n'avaient pu le construire
Faudrait le détruire ,en logeant les habitants actuels bien évidemment,et y faire une Grande Roue .
Rou Rou
Comté de Nice vers 1968 avec l'Esterlel et l'arrêt des vieux rafiots...le Corse en 1982....dans les années 60 de temps en temps il nous mettait un vieux bateau mais très confortable. Le Gouverneur Général Chanzy...très classieux avec une salle à manger 1 ère classe , une salle à manger 2ème classe...et le vulgus pecum dans la soute avec les ballots...et interdiction d'aller dans sur les zones 1ère et 2 ème classe ...
RépondreSupprimerLe Commandant Quéré était le Capitaine du "Général Bonaparte" torpillé le 18 mai 1943 par un sous-marin anglais, le "Sportsman" alors qu'il reliait Ajaccio à Nice avec 270 passagers et membres d'équipage à bord. Le Commandant Quéré périt au moment de l'explosion ; il avait vu le sillage des torpilles et commandé de préparer l'évacuation du navire. 137 personnes purent être sauvés par deux torpilleurs sous pavillon allemand qui croisaient à proximité.
RépondreSupprimerLe "Sportsman" prêté après la guerre à la marine française et rebaptisé "Sybille" disparut au large du cap Camarat en septembre 1952 avec 44 marins à bord ... "sportif" de malheur !
le Sampiero corso...Je devais avoir 8 ans, nous venions passer notre été au village, comme tous les 2 ans, depuis Dakar...La traversée fut horrible et à l'arrivée, une tempête homérique empêchait le bateau d'aborder...Cela a duré 7 heures d'enfer, on voyait Bastia, sans pouvoir y accéder, mes parents étaient moribonds tellement ils étaient malades et moi, je croyais qu'on allait tous mourir! Inoubliable épopée...
RépondreSupprimerLimpia
Alors jeune étudiante j'ai également fait quelques traversées épiques sur le Comté de Nice et sur le Corse; De vrais rafiots il est vrai, mais quel plaisir à l'époque de se retrouver avec d'autres étudiants et comme on disait "rentrer chez nous", parfois juste un long week-end.. Nostalgie quand tu nous tiens!
RépondreSupprimerOh! rien que d'en parler ça tangue encore!!!
RépondreSupprimerEn plus des bateaux nommés ci-dessus quand je venais à Rutali à partir des années 60 j'ai fait des traversées sur le Ville de Tunis et Le Président de Cazalet
RépondreSupprimerCharles Dunoyer
J'ai fait ma dernière traversée Oran-Marseille en juillet 1960 avec la chance d'être en 2eme cl avec en prime la visite de tout le bateau y compris machines, un bijou pour l'époque !! quel souvenir...
RépondreSupprimeren 58 j aite novice machines dur dur
Supprimerplein de souvenir des enciens CORSES
en vacances annuelles à Rogliano. traversée affreuse sur le Queré. un tangage inouï. notre cabine était à l'avant.
RépondreSupprimerje me souviendra toute ma vie de ce moment où le bateau après avoir été verticalisé par la vague arrière cesse tout mouvement avant de retomber sur la suivante. moment sans fin.
Une traversée mémorable pour aller jouer aux petits soldats en Algérie en 59, Ils on fait des économies de repas cette fois là, fallait avoir le cœur bien accroché... Le retour dans je ne sais plus quel rafiot analogue fut plus calme.
RépondreSupprimerJ'ai connu moi aussi ces traversées épiques sur ces magnifiques bateaux en compagnie de ma sœur et de ma grand-mère. J'étais déjà malade dans le train de Paris à Marseille ou Nice. La traversée jusqu'à Bastia ou Ajaccio finissait de m'achever. Du moins je le croyais! Car il me restait à affronter la fameuse micheline jusqu'à Vivario (de 2 à 3 heures!), le car jusqu'à Vezzani, plus un taxi jusqu'au village de Casevechje dont 6 kilomètres sur une route caillouteuse non goudronnée.
RépondreSupprimerOn devine dans quel état j'arrivais au village!
On devine dans quel état j'arrivais au village!
J'ai effectué la traversée entre Marseille et Bastia l'été 1954 sur le Ville d'Ajaccio. J'avais alors 9 ans, départ de Marseille en début d'après-midi, escale de 6 heures à Toulon, où j'ai admiré quelques bâtiments de le marine nationale, en particulier le "Richelieu". Départ dans la soirée pour Calvi. Panne avec grosse fuite de vapeur au milieu de la nuit, un marin sérieusement brûlé. Je dormais sur le pont (matelas pneumatique) des quatrièmes classes. Après un arrêt de plus de deux heures le navire repart. Au lever du jour, nous sommes évacués en seconde classe afin de nettoyer le pont partiellement maculé de vomissures. Après l'escale de Calvi contournement du cap Corse et arrivée à Bastia vers 17 heures. Le voyage a duré 27 heures !
RépondreSupprimerJe me souviens parfaitement de ces trois navires : Cyrnos,Commandant Quéré et Sampiero Corso". Nous quittions la capitale par le train jusqu'à Marseille ou à Nice avec une ficelle dans la poche. Il ne fallait surtout pas oublier cette ficelle car elle nous permettait de maintenir la chaise longue,louée, sur un plan pratiquement horizontal. Cette position nous permettait de passer une nuit relativement confortable. Malheureusement nous étions toujours sur le chemin des toilettes et dans l'obligation de céder le passage. Je peux oublier également cette odeur insupportable qui régnait dans cale, réservée à la quatrième classe, lorsque la mer était agitée. Avec le temps tout cela constitue des bons souvenirs.
RépondreSupprimerbonjour
RépondreSupprimeret l'amarre tendu sur le pont pour avoir accès aux toilettes
Bonjour je recherche des photos du bar et spécialement du comptoir du bateau cyrnos de 1929
RépondreSupprimerj'ai acheter une maquette du c' QUERE a Binic et me demande qui en est le constructeur?
RépondreSupprimerNovice pont en 1960
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