lundi 7 octobre 2019

Les "Tulipes" de Jeff KOONS...



Pablo PICASSO
"Bouquet de la Paix"_1958

Le controversé "Bouquet de Tulipes" de l'artiste américain Jeff KOONS, cadeau des États-Unis à la ville de Paris après les attentats de 2015-2016, a été inauguré vendredi dernier.
L'œuvre haute de 13 mètres se situe derrière le Petit Palais, près de Champs-Élysées.


"Il y a seulement onze fleurs. La douzième symbolise la perte née des attentats", a déclaré l'artiste américain, après un long discours de remerciements où il a invoqué l'esprit de Bartholdi, l'auteur de la statue de la Liberté. Son bouquet évoque la main de la statue brandissant la torche et dialogue avec le "Bouquet de l'Amitié" de Pablo Picasso, a-t-il souligné dans son discours.

6 commentaires:

  1. foutage de gueule ! It's à joke ! c'est quand qu'on rigole, ou qu'on pleure...typique du mandat Trump, grotesque !

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  2. La'parfois violente,polémique à dure 3.ans.Je laisse la parole au philosophe Yves Michaud :"L'habitude s'est prise depuis des décennies de transformer
    Paris en depotoir pour objets en tous genres.Vos objets sublimes,gardez - les vous,mettez -les dans vos salons et vos réserves ,mais rendez -nous un espace public aéré ,vivant ,libre ,respirable ..."
    Il qualifie l'oeuvre de "sculpture pornographique'et de onze anus colorés montés sur tige "

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    1. Pourquoi toujours voir le "mal" là où il n'est pas ?!
      N'est-ce pas plutôt M. Michaud qui a l'esprit mal tourné ?

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  3. Théophile GAUTIER Recueil : "Poésies nouvelles et inédites"
    Moi, je suis la tulipe, une fleur de Hollande ;
    Et telle est ma beauté, que l’avare Flamand
    Paye un de mes oignons plus cher qu’un diamant,
    Si mes fonds sont bien purs, si je suis droite et grande.
    Mon air est féodal, et, comme une Yolande
    Dans sa jupe à longs plis étoffée amplement,
    Je porte des blasons peints sur mon vêtement,
    Gueules fascé d’argent, or avec pourpre en bande.
    Le jardinier divin a filé de ses doigts
    Les rayons du soleil et la pourpre des rois
    Pour me faire une robe à trame douce et fine.
    Nulle fleur du jardin n’égale ma splendeur,
    Mais la nature, hélas ! n’a pas versé d’odeur
    Dans mon calice fait comme un vase de Chine.
    1839

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  4. J’adore ce poème..fracassant non ?

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  5. Très moche ce bouquet et qui a couté une fortune pour etre installé

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