Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
La veuve tient la main de son fils qu'elle offre a Pascal Paoli pour aller au combat.Elle a déjà perdu 2 enfants à la guerre de l'Indépendance.
RépondreSupprimerje pense qu'elle donne son dernier fils à la deuxième guerre mondiale ( cf dates inscrites sur le monument) sans doute en référence au nombres d'hommes corses tués pendant les 2 grands guerres, tout en prenant en compte que la Corse est un des départements français qui a compté le plus de femmes veuves à la suite de ces 2 guerres...
RépondreSupprimerVu que ce monument date des années 30 , chère 16:30 , une référence à la deuxième guerre mondiale nous rapprocherait de madame Soleil..
RépondreSupprimerMonument aux morts sur la place Saint Nicolas à Bastia.
RépondreSupprimerLa statue représente une mère qui offre son fils à la Patrie. Elle symbolise ainsi les sacrifices consentis par les Corses durant les trois dernières guerres (1970, 1914/16, 1939/45). Paradoxe surprenant, le sculpteur s’inspire de l’histoire de la veuve de Rennu, femme corse célèbre qui alla trouver Pasquale Paoli pour lui confier son dernier fils vivant après avoir perdu les deux aînés morts pour « a Patria ».
Une première version date de 1925 avec la statue posée sur un rocher que l’on jugea inélégant. La deuxième version a été inaugurée en grande pompe en 1935 avec au bas du nouveau socle un bas-relief baptisé «voceru» en présence du maire Emile Sari, du général Weygand et du ministre des Anciens Combattants Jean Médecin.
Louis
Moi je pensai qu'elle tenait autre chose vu la photo: ça prête à confusion comme quoi .
RépondreSupprimermerci Louis d'avoir éclairé nos lanternes...comme quoi " cher 19:29", la culture c'est comme la confiture...moins on en a plus on l'etale...
RépondreSupprimer