Ce n'est plus ici...
Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
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Mais c'est quand la journée de la pomme de terre?
RépondreSupprimerLe 30 mai au Pérou..
RépondreSupprimerUn sondage Ifop révèle, lundi 9 mars, qu'en matière d'hygiène, les comportements des Français n'ont pas changé depuis l'arrivée du Covid-19. Seuls 72% se lavent systématiquement les mains après être allés aux toilettes, 54% avant de passer à table, et seulement 47% après avoir fréquenté les transports en commun.
RépondreSupprimerLes trois quarts des Français ne se lavent pas les mains après s'être mouchés, et seuls 42% se couvrent avec le bras ou un mouchoir en cas de toux. Vecteur de transmission privilégié, les contacts lors des "rites de salutation", sont également dans le viseur de la campagne d'information du gouvernement. Mais là encore, la bise ou le serrage de mains sont toujours en vigueur he oui DD
Selon l'INSEE, la corse compte 339000habitants. Le taux de létalité du coronavirus est de 3%. Donc, il faut s'attendre à + de 10.000 morts dans l'ile.
RépondreSupprimerSeulement Si les 339000 habitants sont atteints !!! Vous avez eu un bac L vous !!!?,,
RépondreSupprimerOui Madame le bac à douche.
SupprimerPublier ce genre d'article est complètement inutile à part si évidemment vous voulez rajouter du stress et de l'inquiétude à une ambiance déjà assez anxiogène.
RépondreSupprimerLes U S A stoppent les transports avec l'Europe et nous en Corse on est incapable de stopper les bateaux en provenance d'Italie.
RépondreSupprimerc'est exact . Ils attendent quoi !!!!!!!
SupprimerMort de rire! On se croirait dans un Astérix inédit, l'humour en moins...Proposez un titre histoire d'en rigoler.
RépondreSupprimerEt si recette potion magique, communiquez la donc.
Vous savez qu'il existe une maladie bien plus plus grave, non?
LA VIE!! Tu nais, tu ùm.... je ne vous dit pas la suite, zallez encore vous affoler!
coudes-pieds!! Hi hi
ELECTIONS MUNICIPALES: une liste de règles d’hygiène à respecter et des précautions, des consignes de distanciation et de priorisation, ont été envoyées dans chaque mairie pour sécuriser d’un point de vue sanitaire l’opération, mais on voit mal comment une manifestation censée faire sortir de chez eux plus de 45 millions de Français pour aller voter et côtoyer des contaminateurs et des contaminations potentiels, pourrait être, d’un point de vue épidémiologique, anodine ! D’où la crainte exprimée par des candidats que nombre de citoyens, notamment les plus fragiles, les plus à risques, les plus âgés, mais aussi beaucoup d’autres, qui ne voient pas l’intérêt de s’exposer, vont estimer, avec justesse, que le jeu n’en vaut vraiment pas la chandelle. Grosse grosse prudence
RépondreSupprimerPourquoi le jeu n'en vaut pas vraiment la chandelle?
RépondreSupprimerC'est dans les urnes que l'on doit manifester et moins ailleurs!
Laquelle l'urne ?
SupprimerA Rutali, le jeu n'en vaut vraiment pas la chandelle. Il n'y a qu'une seule liste, donc les candidats seront forcément tous élus, car, ils atteindront tous nécessairement les 50% des suffrages exprimés, la règle pour les communes de moins de 1000 habitants. Donc, pas de second tour non plus.
RépondreSupprimerCoronavirus : l'infectiologue Éric Caumes craint un "tsunami"
RépondreSupprimerChef du service infectiologie à la Pitié-Salpêtrière, le praticien appelle à casser "l'épidémie au plus vite".
"La vague arrive, ça va être un tsunami si on ne casse pas l'épidémie au plus vite", avise d'emblée Éric Caumes dans un entretien au JDD
Il décrit une situation à la limite de la saturation dans les hôpitaux : "Partout, des patients venus pour autre chose sont diagnostiqués positifs, comme des soignants. Mon service sera plein ce soir. J'espère me tromper, mais je pense qu'une crise sanitaire majeure s'annonce."
D'après le spécialiste, formé à l'épidémiologie, il faudrait s'inspirer du cas chinois pour tenter d'enrayer la propagation du virus. "Les Chinois offrent leur aide en fournissant des respirateurs. Ce retournement de situation est riche d'enseignements".
Sur la différence de capacités d'accueil entre l'Italie et la France, l'infectiologue n'y croit pas. "Les hôpitaux du nord de l'Italie n'ont rien à envier aux nôtres", assure-t-il, exprimant la crainte "que, pendant l'épidémie, des personnes connaissant d'autres problèmes de santé soient plus difficilement prises en charge car jugées moins prioritaires." Il avertit sans détour : "le système hospitalier n'est pas extensible à l'infini, et on va manquer de personnel non médical."