Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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mardi 2 juin 2020
Que nous proposerez-vous ?
Nous attendons vos propositions pour peut-être plus de "modernité" et "d'ouverture", comme souhaité…
Un peu de gaîté avec cette chanson du folklore vénézuelien: "El currucha"par l'ensemble ARPEGGIATA-encore,( avec un clin d'oeil de Ph. Jarrousky).voir "you tube". Traduction:J’aime, j’aime ma femme à peau noire plus que les sandales que je porte aux pieds J’aime, j’aime ma femme à peau noire plus que la carafe quand la soif me prend J’aime, j’aime ma femme à peau noire plus que le hamac et ses rêves charmants plus que mon fidèle alezan et les mille trophées qu’il me fait gagner. Lorsque ma femme danse le joropo tous ses pas résonnent en moi pointe et talon en cadence rythme d’une interminable quirpa. Ses hanches en mouvement me font perdre la raison. Ah ses hanches en cadence me font perdre la raison. Si dans les yeux je regarde ma femme noire elle rougit plus qu’un paraguatà dont la fleur illumine toute la forêt et attire l’abeille qui fait miel. Si quand elle danse je la frôle grande chaleur vient à ma tête elle est de feu, ma femme, et son amour me brûle et me réduit en cendres. Joropo = musique vénézuélienne Quirpa = danse du Vénézuéla Paraguatà = arbre rouge (sans doute un flamboyant) Merci, Battine.
Je ne sais pas si c est « moderne » mais je ne saurais trop vous conseiller le très beau livre de Leila Slimani : « Le pays des autres « : En 1944, une jeune Alsacienne tombe amoureuse d un jeune marocain, soldat dans l’ armée française. A la libération, le couple s installe au Maroc . Tandis qu’ Amine tente de mettre en valeur un domaine de terre ingrate, Mathilde se sent isolée dans un pays aux mœurs rigoristes . Pendant les dix ans que couvre lle roman, tous, colons comme indigènes, soldats comme paysans, vivent « dans le pays des autres « Et surtout , surtout les femmes qui vivent dans le pays des hommes et doivent sans cesse se battre pour leur émancipation. Tensions et violence montent jusqu à l’ indépendance du Maroc en 56 . Très belle fresque, personnages attachants et humains , un bon roman pour l’ été .MAV
Ne rien jeter ni gaspiller,se régaler à moindres frais avec ce que la nature bous offre ,c'est nouveau et moderne aussi ,même si nos aïeules savaient ... Il reste des cerise ?faites des confitures ,mettez-les au vinaigrs avec des épices et des aromates; elles accompagneront à merveille les viandes froides de l'été et plus tard le pot-au-feu . "D'ogni tempo son buone le Fritelle"Un air de fête avec des beignets :de cerises ,de fleurs d'acacia ou de sureau ...À vous la suite ,Yzus
Comme l'a dit Guitry,"Quoi de neuf ?Moliere ."
RépondreSupprimerHommage à Jacques Charpentier récemment DCD...Quatuor en forme liturgique...( pour trombone )
RépondreSupprimerUn peu de gaîté avec cette chanson du folklore vénézuelien: "El currucha"par l'ensemble ARPEGGIATA-encore,( avec un clin d'oeil de Ph. Jarrousky).voir "you tube".
RépondreSupprimerTraduction:J’aime, j’aime ma femme à peau noire
plus que les sandales que je porte aux pieds
J’aime, j’aime ma femme à peau noire
plus que la carafe quand la soif me prend
J’aime, j’aime ma femme à peau noire
plus que le hamac et ses rêves charmants
plus que mon fidèle alezan
et les mille trophées qu’il me fait gagner.
Lorsque ma femme danse le joropo
tous ses pas résonnent en moi
pointe et talon en cadence
rythme d’une interminable quirpa.
Ses hanches en mouvement
me font perdre la raison.
Ah ses hanches en cadence
me font perdre la raison.
Si dans les yeux je regarde ma femme noire
elle rougit plus qu’un paraguatà
dont la fleur illumine toute la forêt
et attire l’abeille qui fait miel.
Si quand elle danse je la frôle
grande chaleur vient à ma tête
elle est de feu, ma femme,
et son amour me brûle et me réduit en cendres.
Joropo = musique vénézuélienne
Quirpa = danse du Vénézuéla
Paraguatà = arbre rouge (sans doute un flamboyant)
Merci, Battine.
Après le déconfinement ,le "club Rutalais de travaux manuels en tous genres, a t-il repris ses réunions hebdomadaires? ...
RépondreSupprimerJe ne sais pas si c est « moderne » mais je ne saurais trop vous conseiller le très beau livre de Leila Slimani : « Le pays des autres « : En 1944, une jeune Alsacienne tombe amoureuse d un jeune marocain, soldat dans l’ armée française. A la libération, le couple s installe au Maroc . Tandis qu’ Amine tente de mettre en valeur un domaine de terre ingrate, Mathilde se sent isolée dans un pays aux mœurs rigoristes . Pendant les dix ans que couvre lle roman, tous, colons comme indigènes, soldats comme paysans, vivent « dans le pays des autres « Et surtout , surtout les femmes qui vivent dans le pays des hommes et doivent sans cesse se battre pour leur émancipation. Tensions et violence montent jusqu à l’ indépendance du Maroc en 56 .
RépondreSupprimerTrès belle fresque, personnages attachants et humains , un bon roman pour l’ été .MAV
Ne rien jeter ni gaspiller,se régaler à moindres frais avec ce que la nature bous offre ,c'est nouveau et moderne aussi ,même si nos aïeules savaient ...
RépondreSupprimerIl reste des cerise ?faites des confitures ,mettez-les au vinaigrs avec des épices et des aromates; elles accompagneront à merveille les viandes froides de l'été et plus tard le pot-au-feu .
"D'ogni tempo son buone le Fritelle"Un air de fête avec des beignets :de cerises ,de fleurs d'acacia ou de sureau ...À vous la suite ,Yzus
Merci de lire des cerises et vinaigre .
RépondreSupprimerSvp la recette des cerises au vinaigre merci
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