Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali. Adresse mail : blogvocedirutali@orange.fr
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Un extrait de la Pastorale ( Karajan?)ou l'on entend le chant du coucou ,si cher àux rutalas -es ,en exil ou pas .Merci.sf
RépondreSupprimerAprès l’orage donc...la version de Furtwangler est superbe aussi comme ils ont été dénazifié tout les deux ( avec tatie Schwarzkopf ) pas de jalousie... bon c’est une mauvaise plaisanterie mais avec le confinement on...ose tout ( n´en rajoutez pas je connais )
RépondreSupprimerJe ne juge pas les chefs-d'oeuvres à l'aune du politiquement correct ,François Villon était "un vilain drôle "Pasolini un méchant garçon ,Le Caravage aussi .
RépondreSupprimerMarcel Proust ,homo à l'epoque ou on disait pederastre,tout comme Gide ,Celineun très grand écrivain qui a tout change .Je pourrais en citer plein d'autres.
À une exception près ,la peinture d'Hitler ,même s'il avait eu du talent ,Staline et Pol Pot idem,,aucun talent littéraire ou artistique connu .
Joker pour Staline au final,,sans l'armée rouge aurait -on gagne la guerre contre le nazisme?
BC?
RépondreSupprimerMerci d'enlever le R et de lire pédéraste..
RépondreSupprimerMoi non plus ce n’était qu’une constatation ..d’ailleurs pouvez t’on être non nazi et exercer son art sous Hitler ?..normal que leur talent ait pu continuer après la guerre..dommage qu’une grande cinéaste comme Leni Riefenstahl n’ai pas eut ce privilège et fut ostracisée..
RépondreSupprimerPour accueillir l'été:
RépondreSupprimerSensation
Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picoté par les blés, fouler l’herbe menue :
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, – heureux comme avec une femme.
A.RIMBAUD
Étés, puissants étés, votre nom même passe,
Être et avoir été, passe-temps et printemps,
Il passe, il est passé comme une eau jamais lasse,
Sans cicatrices, sans témoins et sans étangs.
Paul ELUARD