lundi 6 juillet 2020

A propos du courrier.


La "poste" fonctionnait beaucoup mieux qu'aujourd'hui, lorsque Louis Cordoliani, dit Luiggiolu, (photo) juché sur son âne se rendait chaque jour à Murato, qu'il pleuve ou qu'il vente, récupérer le courrier. ce dernier n'arrive plus dans nos boîtes, comme les magazines et les colis, ou alors avec énormément de retard. Le virus a bon dos. A l'époque on traduisait PTT par petit travail tranquille. On peut en dire autant aujourd'hui.

8 commentaires:

  1. Une anecdote amusante à propos de notre ancien facteur Henri Santelli le rencontrant lui dit
    Àvete lettarre pe à familial Santelli??? Et notre brave facteur repondi
    Ni per santi ni per diaoulou. ( j écris le corse phonétiquement ))

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  2. Une lettre postée à Carcassonne le lundi, a été distribuée le samedi

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  3. Au début des années 50 il arrivait de Murato et dés le virage de la premièrement maison du village dans ce sens , celle des Maroselli occupé par Jean Pierre et son béret , il hurlait plusieurs fois « Cordo « annonçant le courrier...rien n’était construit par là en ces temps...la maison Négroni occupée par Mamita et celle de mes grands parents ( Yvonne et Nicolas aujourd’hui )..

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  4. Défenseurs de l'anonymat ? Je peux me tromper mais il semblerait que des qui signaient d'initiales les abandonnent.Si tel est leur bon plaisir ,rien a dire.

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  5. Désolé... le 13: 02...bc ...inattention de ma part...

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  6. Oh réveillez vous !! La Poste de Papa ...........NOËL c est fini l épicier du coin à été bouffe par une supérette mangée par Leclerc et maintenant vous achetez tout sur AMAZONE qui distribue par société de transport qui nous vient des Amérique
    Ou est le plaisir de recevoir ses cartes postales de vacances de papy et mamy les bon vœux de fin d année ces petites lettres que nous facteurs nous appelions des mignonnettes
    Pour vous donner une idée de laPoste ''''''''''' d aujourd'hui un paquet colissimo pour Vannes 56000 trie à Paris à été dirige par ((erreur) a 06400 Cannes
    Basgi à tutti i rutalacci

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  7. "Tonton Louis", c'est ainsi que nous l'appelions affectueusement dans la famille.Quand il arrivait sur notre placette, retentissaient les noms de famille des heureux qui avaient une lettre , étaient abonnés au journal local ou au "chasseur français".Lorsque nous attendions un colis, c'était sur la terrasse, devant l'agence postale tenue par Paulette, que nous guettions son arrivée. Soudain , il apparaissait sur son âne , tel Sancho Panza et nous l'interpellions: "il y a un colis pour nous ,tonton ?- O zitelli aspetate un pocu !"Et nous attendions impatiemment l'ouverture des sacs .
    De bien agréables souvenirs ! Battine;

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  8. Merci Battine nous avons des souvenirs communs

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