Maria Elena VIEIRA DA SILVA "Échec et mat"_1949 Huile sur toile. (89 cm X 116 cm) Collection privée. |
"carédar-416" |
"Échec et mat" Des carrés, des rectangles, des losanges et des formations diagonales choisies au hasard ont été tissés comme pour former un filet. Un système de perspective a été employé pour que le motif central d'échiquier aille se perdre dans le lointain. La surface de la toile semble se déformer, mais la peinture n'a rien d'angoissant. Au contraire, l'utilisation d'une lumière feutrée et de couleurs douces crée une atmosphère sereine et mystérieuse.
Maria Elena VIEIRA DA SILVA (1908 - 1992) était une artiste française d'origine portugaise. Elle travailla d'abord comme sculptrice avec Émile Bourdelle. Ensuite, après s'être installée à Paris, elle étudia la peinture sous la tutelle de Fernand Léger et la gravure avec Stanley William Hayter. Dans les années trente, elle se tourna vers la peinture abstaite et produisit une multitude d'œuvres caractérisées par l'utilisation de couleurs sourdes contrastées, souvent dominées par des tons de gris et de blanc, et de structures linéaires, placées sur des sols informes. Elle a dit : "J’observe la rue et les gens qui marchent, chacun avec une apparence différente, chacun avançant à son propre rythme. Je pense aux fils invisibles qui les manipulent… J’essaie de percevoir la mécanique qui les coordonne. Je dirais que, d’une certaine façon, c’est cela que je tente de peindre."
Maria Elena VIEIRA DA SILVA (1908 - 1992) était une artiste française d'origine portugaise. Elle travailla d'abord comme sculptrice avec Émile Bourdelle. Ensuite, après s'être installée à Paris, elle étudia la peinture sous la tutelle de Fernand Léger et la gravure avec Stanley William Hayter. Dans les années trente, elle se tourna vers la peinture abstaite et produisit une multitude d'œuvres caractérisées par l'utilisation de couleurs sourdes contrastées, souvent dominées par des tons de gris et de blanc, et de structures linéaires, placées sur des sols informes. Elle a dit : "J’observe la rue et les gens qui marchent, chacun avec une apparence différente, chacun avançant à son propre rythme. Je pense aux fils invisibles qui les manipulent… J’essaie de percevoir la mécanique qui les coordonne. Je dirais que, d’une certaine façon, c’est cela que je tente de peindre."
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