vendredi 7 décembre 2012

AVIS DE DÉCÈS

C'est avec horreur et stupéfaction que nous apprenons à l'instant le décès prématuré de 
Charles CAMPANINI, plus connu sous le nom de "Charly"
à l'âge de 56 ans des suites et des complications d'une longue maladie.
Charly était le fils de Pierre Campanini, lui-même décédé il y a un mois et demi 
et de Pierrette née Fortuzzi, et le petit-fils de Charles Campanini et d'Angèle née Bragoni.
Ses obsèques auront lieu lundi 10 décembre 2012.
Le corps sera exposé, lundi 10 décembre à 9 heures en l'église Saint Jean-Baptiste de Bastia, rue du Cardinal Viala . La cérémonie religieuse aura lieu en cette même église à 10 heures.
L'inhumation se fera ensuite au cimetière de RUTALI à 11 heures 30.
Nous présentons nos condoléances attristées à sa mère, à Annie sa femme, à ses enfants et petits-enfants, à sa sœur Lucette et à son beau-frère, à ses neveux, à son oncle Barthélémy et à sa tante Nicole, à son grand-oncle Nonce Bragoni et à tous ceux que ce deuil affecte. 

4 commentaires:

  1. parce que c'était mon ami,je vais enfreindre mon silence sur ce blog.
    nous avions travaillé ensemble,fils de pub nous l'appelions,beaucoup de barbecue nous faisions.
    à toute sa famille,je présente mes condoléances attristées par ce deuil qui en touchera beaucoup .
    adieu Charly,je t"accompagnerais à ta dernière demeure.
    William BLERIOT

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  2. Très sincères condoléances à toutes les personnes atteintes par ce deuil cruel.
    Michèle et César Pantanacce.

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  3. quand j'ai écrit "fils de pub" cela signifié "fils de publiphonie" en abrégé.
    Charly s'occupait principalement de la maintenance des publiphones.
    dont acte.
    wb

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  4. Charly, je pense qu'à l'heure qu'il est, tu dois avoir rejoint ta petite sœur Yolande et tes grands-parents... Repose désormais en paix, petit cousin cher à mon cœur.
    En pensant à toi, je revois un merveilleux bambin blondinet aux yeux d'un bleu profond, si doux si sage. Je me souviens de la joie que je ressentais lorsque tu venais en vacances chez ta tante à Marseille et que ma mère t'accueillait de temps en temps. Malgré la différence d'âge, jouer avec toi n'était que du bonheur... Peut-être te considérais-je alors comme le petit frère que je n'eus jamais.
    Allez "adesias" Charly, comme on dit du côté de Marseille...
    Danièle

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