Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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On a peu parlé du décès de Guy Béart....Pourtant, que de belles chansons! L'eau vive ,Bal chez temporel, Qu'on est bien...,Le matin je m'éveille en chantant, etc....;
Les problèmes budgétaires (réels et évidents) provoqués par la baisse des dotations ne doivent pas masquer la forte augmentation des impôts directs et indirects dont les collectivités locales ont profité (+46 % entre 2008 et 2014, soit 230 millions d'euros de plus). Cette hausse est surtout liée à l'amélioration des bases taxables et plus marginalement à des hausses de taux. Ceci a surtout alimenté les dépenses de fonctionnement. Sur la même période, les dépenses d'investissement (dépenses directes uniquement afin d'éviter les doubles comptes liés aux financements croisés) n'ont pas bougé autant (cf. hausse 2008-2013) puis ont chuté lourdement en 2014 (-70 M€). Depuis 2008, l'augmentation de la masse salariale des collectivités territoriales en a été de 5 % par an en moyenne. Près de 2 fois plus rapide que dans le secteur privé sur les dernières années. Les nouvelles intercommunalités ont alourdi la note sans que la progression freine dans les communes (pas de transfert de charges ou de personnels visiblement). Normalement, on pourrait attendre d'un tel effort budgétaire des améliorations importantes des services publics locaux. On peut douter que ce soit le cas. Faut pas s' inquiéter demain ça ira mieux ... même si aujourd'hui c' est n' importe quoi.
On a peu parlé du décès de Guy Béart....Pourtant, que de belles chansons! L'eau vive ,Bal chez temporel, Qu'on est bien...,Le matin je m'éveille en chantant, etc....;
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RépondreSupprimerLes problèmes budgétaires (réels et évidents) provoqués par la baisse des dotations ne doivent pas masquer la forte augmentation des impôts directs et indirects dont les collectivités locales ont profité (+46 % entre 2008 et 2014, soit 230 millions d'euros de plus). Cette hausse est surtout liée à l'amélioration des bases taxables et plus marginalement à des hausses de taux.
Ceci a surtout alimenté les dépenses de fonctionnement. Sur la même période, les dépenses d'investissement (dépenses directes uniquement afin d'éviter les doubles comptes liés aux financements croisés) n'ont pas bougé autant (cf. hausse 2008-2013) puis ont chuté lourdement en 2014 (-70 M€).
Depuis 2008, l'augmentation de la masse salariale des collectivités territoriales en a été de 5 % par an en moyenne. Près de 2 fois plus rapide que dans le secteur privé sur les dernières années.
Les nouvelles intercommunalités ont alourdi la note sans que la progression freine dans les communes (pas de transfert de charges ou de personnels visiblement).
Normalement, on pourrait attendre d'un tel effort budgétaire des améliorations importantes des services publics locaux. On peut douter que ce soit le cas.
Faut pas s' inquiéter demain ça ira mieux ... même si aujourd'hui c' est n' importe quoi.