Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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Le général hiver en a remis une couche cette nuit, et ça continue ce matin, avec en prime un vent glacé qui frissonne et court dans les allées comme l'a si bien écrit Guy de Maupassant.
I y a des personnes dans le boziu qui aimeraient avoir 8cm de neige seulement ! Ceux qui sont bloqués chez eux sans électricité ne regrettent pas les neiges d antan
Dans le Corse-Matin, u nutiziale di a Corsica de ce jour, ne sont publiées que des pages sur la Corse. Rien sur l'actualité nationale et internationale !
perdu ce matin pochette noire avec carte d'identité téléphone et 20 euros de chez moi à la fontaine neuve. j'aimerais bien svp récupérer ma carte d'identité et mon téléphone si possible. Merci Marie jeanne MANICACCI.
Je cherche souvent mes lunettes alors que je les ai sur le nez.Ce n'est pas inquiétant.Marie-Jeanne vous avez fait l'inventaire du Frigo avant de partir faire les courses et avez posé votre porte-monnaie au frais.Il faut en rire.
La question de la création d'un revenu de base s'est invitée dans la présidentielle, de tous les côtés de l'échiquier. Et ce, avec des arguments diamétralement opposés. S'il ressort aujourd'hui dans le débat public, le concept d'un revenu de base universel est en réalité loin d'être neuf. Il apparaît, dès le XVIe siècle, chez Thomas More, philosophe humaniste et homme politique anglais, resté célèbre pour son texte L'Utopie. Il est ensuite repris et approfondi, notamment au XVIIIe par l'auteur Thomas Paine, au XIXe par les socialistes utopistes, puis plus récemment par des figures américaines, comme le philosophe John Rawls, le pasteur Martin Luther King Jr ou les économistes Milton Friedman et James Tobin. Qu'on estime ce système légitime ou contestable, la question de son financement risque de trancher le débat, en France du moins (pour le moment). C’est peut-être différent aux USA où la société numérique en voie d'émergence fabrique en effet suffisamment de turbo-millionnaires et de super-cadres pour financer le «généreux» mécanisme. Mais faut-il s'en réjouir, ou plutôt le déplorer ? Le revenu universel revient plutôt à homologuer une société duale, faite d'une «hyperclasse» riche, restreinte, charitable et d'une «lumpen-catégorie» non-qualifiée, nombreuse et épaulée. Les dames patronnesses choyaient leurs pauvres au niveau de la paroisse, les patrons de GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple…) pourraient prendre leur suite mais au niveau d'une région entière voire d'un Etat. Ironie de l'histoire, ces patrons-là multiplient les astuces fiscales avec leur multinationale pour éviter le percepteur mais manifestent un certain consentement à l'impôt comme citoyen. La méchante personne morale versus la gentille personne physique.
"un certain consentement à l'impôt comme citoyens"? Oui et non, ne pas oublier le système des "Fondations" qui sous couvert de grandes causes (réelles) permet aussi de diminuer les impôts aussi bien des citoyens que des entreprises qui font des dons. Mais c'est pas le sujet ici.
Le revenu universel est une façon d'encourager une certaine catégorie de gens à ne rien faire.Il soumet à la double peine ceux qui travaillent.Je m'explique: 1 ils travaillent et paient des impôts 2) Ils vont en payer davantage pour financer le revenu universel. Où est l'égalité des citoyens? Mais, l'idée a permis à un certain candidat aux primaires de la Gauche d'arriver en tête car ont certainement voté pour lui pas mal de jeunes qui ont peur de rentrer dans la vie active et qui voient là une façon de ne rien faire en étant rétribués sur le dos de ceux qui travaillent
Le général hiver en a remis une couche cette nuit, et ça continue ce matin, avec en prime un vent glacé qui frissonne et court dans les allées comme l'a si bien écrit Guy de Maupassant.
RépondreSupprimerDepuis dimanche, il neige tous les jours. Pourtant, la couche atteint à peine 8 cm. Mais où sont les neiges d'antan ?
RépondreSupprimerI y a des personnes dans le boziu qui aimeraient avoir 8cm de neige seulement ! Ceux qui sont bloqués chez eux sans électricité ne regrettent pas les neiges d antan
SupprimerElles arrivent !!!
RépondreSupprimerne nous plaignons pas pour si peu de neige pensons plutôt aux sdf .
RépondreSupprimerOui les SDF feuilleton de tout les hivers . Pour nos politiques que de gifles qui se perdent , les années se suivent et se ressemblent .
RépondreSupprimerDans le Corse-Matin, u nutiziale di a Corsica de ce jour, ne sont publiées que des pages sur la Corse. Rien sur l'actualité nationale et internationale !
RépondreSupprimerperdu ce matin pochette noire avec carte d'identité téléphone et 20 euros de chez moi à la fontaine neuve.
RépondreSupprimerj'aimerais bien svp récupérer ma carte d'identité et mon téléphone si possible. Merci Marie jeanne MANICACCI.
Ne cherchez plus, on l'a trouvée. Merci, Marie Jeanne
RépondreSupprimerElle était dans le frigidaire ça arrive à tout le monde ce genre de mésaventure .
RépondreSupprimerca va mal ca va mal
RépondreSupprimerJe cherche souvent mes lunettes alors que je les ai sur le nez.Ce n'est pas inquiétant.Marie-Jeanne vous avez fait l'inventaire du Frigo avant de partir faire les courses et avez posé votre porte-monnaie au frais.Il faut en rire.
SupprimerLa question de la création d'un revenu de base s'est invitée dans la présidentielle, de tous les côtés de l'échiquier. Et ce, avec des arguments diamétralement opposés.
RépondreSupprimerS'il ressort aujourd'hui dans le débat public, le concept d'un revenu de base universel est en réalité loin d'être neuf. Il apparaît, dès le XVIe siècle, chez Thomas More, philosophe humaniste et homme politique anglais, resté célèbre pour son texte L'Utopie. Il est ensuite repris et approfondi, notamment au XVIIIe par l'auteur Thomas Paine, au XIXe par les socialistes utopistes, puis plus récemment par des figures américaines, comme le philosophe John Rawls, le pasteur Martin Luther King Jr ou les économistes Milton Friedman et James Tobin.
Qu'on estime ce système légitime ou contestable, la question de son financement risque de trancher le débat, en France du moins (pour le moment).
C’est peut-être différent aux USA où la société numérique en voie d'émergence fabrique en effet suffisamment de turbo-millionnaires et de super-cadres pour financer le «généreux» mécanisme. Mais faut-il s'en réjouir, ou plutôt le déplorer ? Le revenu universel revient plutôt à homologuer une société duale, faite d'une «hyperclasse» riche, restreinte, charitable et d'une «lumpen-catégorie» non-qualifiée, nombreuse et épaulée. Les dames patronnesses choyaient leurs pauvres au niveau de la paroisse, les patrons de GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple…) pourraient prendre leur suite mais au niveau d'une région entière voire d'un Etat. Ironie de l'histoire, ces patrons-là multiplient les astuces fiscales avec leur multinationale pour éviter le percepteur mais manifestent un certain consentement à l'impôt comme citoyen. La méchante personne morale versus la gentille personne physique.
"un certain consentement à l'impôt comme citoyens"? Oui et non, ne pas oublier le système des "Fondations" qui sous couvert de grandes causes (réelles) permet aussi de diminuer les impôts aussi bien des citoyens que des entreprises qui font des dons. Mais c'est pas le sujet ici.
RépondreSupprimerLe revenu universel est une façon d'encourager une certaine catégorie de gens à ne rien faire.Il soumet à la double peine ceux qui travaillent.Je m'explique: 1 ils travaillent et paient des impôts
RépondreSupprimer2) Ils vont en payer davantage pour financer le revenu universel.
Où est l'égalité des citoyens?
Mais, l'idée a permis à un certain candidat aux primaires de la Gauche d'arriver en tête car ont certainement voté pour lui pas mal de jeunes qui ont peur de rentrer dans la vie active et qui voient là une façon de ne rien faire en étant rétribués sur le dos de ceux qui travaillent