Prise de paroles...

Monsieur et madame Perfetti Jean-Claude nous prient d’insérer cet article dans le blog… faisant suite à un précédent article du mois d’Octobre relatant les mêmes causes.

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3ème  chronique d’une haine ordinaire !

L’artiste harceleur, le courageux, "le pauvre !" s’est à nouveau exprimé (pour la troisième fois) dans les rues de notre village, place Bastelica, avec toujours une prédilection toute particulière pour notre façade qu’il a prise pour cible, armé d’œufs, en considérant, peut-être, que les deux précédentes fois n’étaient que des brouillons qui avaient besoin d’être affinés - faut-il y voir une volonté de perfectionnement de son œuvre ? Ses pulsions créatives restent mystérieuses, mais nous savons bien que les chemins de la Création sont complexes et sinueux !

Face à autant de talent et de courage nous ne pouvons que nous apitoyer. L’artiste harceleur ne signe toujours pas son œuvre, mais il nous amène néanmoins à réfléchir,  car de tels agissements lamentables portent à la réflexion, nous enseignent quelque chose sur notre prochain et nous incitent à penser qu’il ne doit pas être très heureux… la méchanceté de son acte est « chose » de malheureux, de médiocre, de jaloux… c’est la faiblesse des gens bornés, des imbéciles qui se croient forts !!!…mais la roue tourne dans la vie et renvoie à l’exécuteur  de  basses œuvres, tel un boomerang, sa propre méchanceté ! -  Nous laissons donc à la vie le soin de nous « venger » : elle fera ce qui est juste.

- Quant à nous, nous préférons vivre en Paix en nous concentrant sur les vraies valeurs et en consacrant notre temps, si précieux, aux personnes qu’on aime et qui nous aiment ! 

S’il y a autour de nous des gens "formidables", comme le dit si justement la chanson de Stromae, il y a aussi des gens "fort minables" aussi nous réitérons à ce "malheureux" qui en fait partie, un conseil manifestement pas encore suivi  : "Faites soigner cette haine qui vous ronge, qui altère votre discernement et vous rend stupide et pitoyable !" 

Nous ne résistons pas à l’envie de citer un poème de Kipling, riche d’enseignements dont nous faisons, NOUS, notre ligne de conduite :

Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,

et, te sentant haï, sans haïr à ton tour

pourtant lutter et te défendre

si tu peux rester digne…

si tu peux conserver ton courage et ta tête

quand les autres la perdront...

tu seras un homme digne d’être aimé…

NB : la gendarmerie de Murato s’est à nouveau déplacée pour constater.., suite à la plainte de ce jour.

Monsieur le Maire en a été également informé.