jeudi 27 juillet 2017

EXPO 2006 OPERA: CHISA : Le Llanto en peinture et musique


Au départ: un fait divers, tragique mais presque banal en Andalousie, la mort d'un torero dans l'arène. Mais ce torero, par ailleurs poète et mélomane, était l'ami de Federico Garcia Lorca qui lui consacra un long poème, une sorte de chant funèbre: Le Llianto. Vicente Pradal, musicien et compositeur, écrit sur ce texte une musique poignante et en fait un spectacle magnifique (nous vous en avons parlé sur le blog). Chisa voit le spectacle et peint ces tableaux saisissants. 
Tous les arts se sont enchainés pour saluer la mémoire de Ignacio Sanchez Mejias.

9 commentaires:

  1. Merci de rappeler ce souvenir... beaucoup d'émotion !

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  2. Est ce que le taureau est mort aussi ce jour là ? si oui qui l'a achevé ? si non est ce qu'il a pu sortir libre de l'arène ?

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  3. 14.14 le niveau zéro est atteint

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    1. c'est trop facile 16:45, d'autres arguments ??? une réponse à ma question madame ou monsieur le pédant qui doit penser que ceux qui sont contre la tauromachie n'y comprennent rien, pro ou contre corrida c'est un dialogue de sourds, beaucoup de personnes qui ne sont pas au niveau zéro, des intellectuels sont contre la tauromachie et ont des arguments solides, quels sont les votre ?? puis que vous avez l'air d'un connaisseur, pouvez vous répondre à ma question qu'est-il advenu de ce taureau après qu'il ait tué le toréador, le savez vous ?

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  4. C'est vraiment pas le sujet !

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    1. ah bon ? un peu quand même ! Au départ: un fait divers, tragique mais presque banal, la mort d'un torero dans l'arène (ce qui n'est d'ailleurs pas banal et au contraire très rare) on est dans le vif du sujet ! que ses amis artistes se soient liés chacun dans leurs arts respectifs pour lui rendre hommage c'est très bien, ce sont des amis fidèles...attristés par ce décès soudain, pour ma part la mort de cet homme ne me touche pas, je ne connaissais pas ce tueur poète et mélomane (les SS étaient de grands mélomanes), moi je pense aux litres de sang qu'il a versé dans l'arène avant de tomber, aux heures de tortures et supplices en tous genres auxquels il a participé. C'est pour cela qu'il m'est impossible de m'extasier devant ces tableaux et d'être émue par ce texte et cette musique. Ce spectacle magnifique comme vous dites en cache un autre abominable, insoutenable !

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    2. (11:43), je comprends tout à fait votre réaction... Je suis moi aussi farouchement opposée aux corridas ! Cependant, faisant abstraction de ces mises à mort insoutenables, je dois avouer que, lors de l'exposition en 2006, j'ai ressenti une sorte d'émotion et de malaise tout à la fois... tout concourait à ce ressenti : le lieu, l'immense hall de la maison Colonna, l'éclairage, l'immersion dans les immenses tableaux de Chisa, le chant rauque et la musique... Une émotion ne se décortique pas. On la ressent ou pas.

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  5. Chère D.D, loin de moi l'idée de critiquer ou de juger votre émotion, je comprends votre ressenti, et il n'est pas question ici de culpabiliser ceux qui ont apprécié cet événement. Ces mots n'engagent que moi, qui ne peux faire abstraction...

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  6. La corrida n' à plus longtemps à perdurer . Même en Espagne elle soulève l' indignation les Baléares, la Catalogne se sont largement prononcés pour son abrogation . Il est temps !

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