Lors de fortes pluies, les chemins, de plus en plus creux, recueillent l'eau qui ruisselle des bassins versants. Les anciens avaient trouvé la parade en construisant des dérivations ( turcitoghji ? ), toujours visibles, comme celle des Pianezzule sur le sentier Tra aghje e pagliaghji , ou celle du Loru. Le turcitoghju des Pianezzule, sur la première photo est de nouveau opérationnel.
Ces deux belles photos sont un cadeau que ,sans le savoir,tu me fais ce jour anniversaire de mes 86 ans.Je n'ai rien oublié des sentiers de ma jeunesse
RépondreSupprimeret du "paradis vert" Écrit dans mon cœur et pour l'éternité ,RUTALI. Ave et merci César.sf