Petit journal inter-actif à l'attention des Rutalais et des Rutalaises, d'ici et d'ailleurs, et de tous ceux qui aiment le beau village de Rutali.
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Un Mathusalem rutalais?120 ans circa minimum?ca se saurait ?Dorothee ?bof ,quel pensum !je préfère Chantal Goya mais tous les goûts ont leur place au blog et de plus si ça vous amuse ...
Ah pardon...suite à une dislexie refoulée et une insomnie chronique j’ai mal construit ma phrase , c’est mon grand père qui à 80 ans . J’avoue par contre que je ne comprend pas que l’on préfère cette bécassine de Goya ( la chanteuse ) à cette délicieuse Dorothée .
Erri de Luca, Le tour de l'oie. Un dialogue -imaginaire- entre un homme qui n'est jamais devenu père et un fils qui n'est jamais né sert de prétexte à une réflexion de l'écrivain sur sa propre vie, ses engagements nombreux et parfois surprenants. Une écriture pleine de poésie. Quelques extraits : L'exil serait pour moi d'écrire dans une autre langue. Je peux en parler d'autres, les lire, mais l'italien est ma patrie, littéralement, parce que c'est la langue transmise par mon père. Expérience sous-entend qu'on devienne des experts. Je reste un inexpérimenté chronique, même si je suis doué pour certaines choses. (...) Je suis resté un débutant, quelqu'un qui se jette dans une mêlée sans rien apprendre. Face à la réalité, je reste un apprenti.
Pour les 80 ans de mon petit fils : Hou la menteuse de Dorothée..bien longtemps que je ne l’ai ouï .
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RépondreSupprimerAh pardon...suite à une dislexie refoulée et une insomnie chronique j’ai mal construit ma phrase , c’est mon grand père qui à 80 ans . J’avoue par contre que je ne comprend pas que l’on préfère cette bécassine de Goya ( la chanteuse ) à cette délicieuse Dorothée .
RépondreSupprimerErri de Luca, Le tour de l'oie.
RépondreSupprimerUn dialogue -imaginaire- entre un homme qui n'est jamais devenu père et un fils qui n'est jamais né sert de prétexte à une réflexion de l'écrivain sur sa propre vie, ses engagements nombreux et parfois surprenants. Une écriture pleine de poésie.
Quelques extraits :
L'exil serait pour moi d'écrire dans une autre langue.
Je peux en parler d'autres, les lire, mais l'italien est ma patrie, littéralement, parce que c'est la langue transmise par mon père.
Expérience sous-entend qu'on devienne des experts. Je reste un inexpérimenté chronique, même si je suis doué pour certaines choses. (...)
Je suis resté un débutant, quelqu'un qui se jette dans une mêlée sans rien apprendre.
Face à la réalité, je reste un apprenti.